(source : CptAnderson, le 3 juillet 2012)
Nigel se déchaîne une nouvelle fois, quel talent ! La « 19ème crise de nerfs » n’a rien résolu en Europe, le MES est « condamné avant de démarrer » et les fantomatiques Van Rompuy et Barroso, qu’il ridiculise encore au passage, ne doivent pas envisager « des vacances trop longues sur un yacht de milliardaire parce que les marchés nous rappelleront tous ici en août »…
il est génial – c’est super de l’écouter
Mercredi 4 juillet 2012 :
1- Italie :
Le déficit public de l’Italie au premier trimestre 2012 a été de 8% du PIB, contre 7% un an plus tôt sur la même période, sous l’effet de la hausse des taux obligataires italiens et de la récession en cours depuis fin 2011, a indiqué mercredi l’Institut national des statistiques (Istat).
Le tableau Istat montre aussi que les comptes publics italiens qui présentaient un excédent primaire (avant paiement du service de la dette) de 2,6% au dernier trimestre de 2011, sont en déficit primaire de 3% au premier trimestre de cette année. Au premier trimestre de 2011, l’Italie présentait déjà un déficit primaire de 2,7%.
http://www.boursorama.com/actualites/italie-deficit-public-en-hausse-a-8-du-pib-au-1er-trimestre-2012-30fd11b538346cd76eb006ec736681f8
2- Espagne :
L’Espagne prépare une série de coupes budgétaires et de hausses d’impôts qui pourraient lui rapporter jusqu’à 30 milliards d’euros.
« L’idée est de mettre en oeuvre des coupes d’une valeur de 3% du PIB », selon l’une des sources rapportée par Reuters. La valeur nominale du PIB espagnol étant de 1.000 milliards d’euros par an, les coupes devraient donc atteindre environ 30 milliards d’euros.
Elles s’ajouteraient aux 48 milliards d’euros d’économies déjà visées par de précédents plans, sans qu’il soit certain que l’accumulation des mesures d’austérité rassure les marchés, quand la véritable inquiétude concerne le manque de croissance.
3- Chypre :
Selon un quotidien de Nicosie, Chypre devrait réclamer 56 % de son PIB pour sauver son système financier. Pendant ce temps, la Troïka tente de négocier avec le gouvernement chypriote dans une ambiance tendue.
Chypre pourrait finalement avoir besoin de 10 milliards d’euros pour recapitaliser son secteur bancaire. C’est ce que prétend le quotidien de l’île Phileleftherios, qui s’appuie sur un rapport préliminaire du FMI qu’il s’est procuré.
Si ce chiffre est confirmé, il s’agirait d’un coup dur pour la petite république dont le PIB ne dépasse pas 18 milliards d’euros.
De + en + d’indices d’un méga-séisme financier vers la fin de l’été…. Oh la tête de Fripouille van Rompouille…. !
Farage paraît assuré du fait qu’il se passera quelque chose à ce moment là, a-t-il des sources particulières, très bien informées ?
Les J.O. de Londres peut-être…
Laurence Olivier n’a qu’à bien se tenir 🙂
Oui le mois d’août est propice aux grands démontages, quand les vacanciers somnolent au soleil après les plats régionaux et les produits de saison arrosés d’un petit (euphémisme souvent la dose est un peu forcée) rosé bien frais.
Il presse au signataire de vivre ces moments hors du commun sur son sol natal…
Démocraties avalées, étherisation des avoirs de chacun …le bordel quoi !
En 68 sage élève de business school, n’ayant pas participé à la moindre manifestation (les ayant fuit plutôt), il est temps que son sang trop longtemps fouetté bouillonne.
Jean LENOIR
“La zone euro pourrait essentiellement faire face à une bifurcation, avec un centre fort et une périphérie plus faible. Finalement, certains pays pourraient sortir de l’union monétaire”, a déclaré Roubini, qui avait prédit la crise financière récente un an avant qu’elle ne commence. «C’est le tout premier test” du bloc de la monnaie unique. Des économies, dont l’Espagne et la Grèce, sont menacées par les déséquilibres budgétaires et la diminution de la compétitivité, estime Roubini. L’adhésion à l’euro signifie qu’ils ne peuvent plus dévaluer leur monnaie pour leurs exportations afin de sortir de la récession, dit-il.
L’erreur majeure c’est le fait que les pays de la zone euro ne constituaient pas une zone monétaire optimale en 2002 et qu’un défaut de convergence des politiques économiques, et l’absence d’outils de gestion commune (trésor, budget fédéral) ne les rapprochent pas de cette configuration.
Farage est sans doute le seul député européen qui a le courage de dire en face , la vérité à ces clowns , ces marionettes de Barroso et de van Rompuy , ÉLUS PAR PERSONNE qui nous mentent depuis des lustres et qui travaillent non pour l´Europe et les européens , mais pour leur maitres américains .
Comme la banque Centrale Européenne a permis à la Banque Centrale Grecque d’imprimer des euros, du coup ça va donner un petit répit aux Grecs qui vont faire tourner la planche à billet. Vont-ils faire pareil en Italie et en Espagne?