(BFM Business, le 31 juillet 2012)
« [Mario] Draghi s’octroie des privilèges qu’il n’a pas, des missions qu’il n’a pas. Je rappelle que la mission de la BCE est de maintenir les prix et non pas d’acheter des obligations européennes sur le marché secondaire, en déséquilibrant encore un peu plus un bilan qui est bourré d’obligations pourries dont on ne peut plus rien faire (…) Plus les chiffres sont pourris, plus ça [les indices] monte parce qu’on se dit qu’on va avoir encore un peu de fuel pour jouer (…) Vous aurez un défaut de paiement généralisé sur la dette de tous les pays, parce que vous avez franchi depuis longtemps le point de non-retour ».
Le crime financier organisé, en place depuis tant d’années, étend ses ramifications jusqu’aux banques centrales et aux dirigeants politiques, lesquels ne sont que le bras armé de ces exactions commises sous couvert de la loi…
Dommage que Delamarche ne s’en prenne pas à ces mafieux et à leurs trafics inouïs : le Libor, MF Global, les produits dérivés, etc. !!!
Oui Olivier vous avez parfaitement raison. Le point de non retour est largement dépassé.
Nous allons vivre la page « faim » très bientôt, en direct et sans plus aucune assistance car il n’y aura plus d’autres donateurs que le dieu ogre (j’ai oublié son nom) qui phagocyte allègrement ses semblables.
Jean LENOIR