(BFM Business, le 4 septembre 2012)
« Il vaut quoi le marché actions ? Il vaut la moitié de 2007. Alors on peut toujours se réjouir qu’il soit remonté de 10%, mais il vaut quand même bien toujours la moitié de 2007, non ? […] Je laisse passer la hausse [de l’été] avec raison, parce que cette hausse ne veut rien dire. Elle n’est pas basée sur du fondamental, mais simplement sur des paroles ridicules de Draghi. C’est tout ! Or la note, vous la paierez. Et à ce moment-là on ne vous enverra pas de lettre recommandée pour vous dire : ça va baisser demain… »
Il circule des rumeurs de marché disant qu’une grosse banque serait en mort clinique… (Morgan Stanley ?) A ce moment-là Delamarche aura eu raison d’être très prudent et de se méfier….
Olivier Delamarche ne doit pas se sentir agressé. Les cours de bourse, comme les taux de chômage, à l’instar des déficits et pareillement aux statistiques économiques sont totalement bidouillés. L’effondrement, l’éclatement, la dislocation, appelez les comme vous le voulez, se produiront, bien sûr, sans préavis et sans doute comme en 1987.
Jean LENOIR
Bourse: l’oeil du diable..Les valeurs financières:11-04-1987.BNP:80,61E-C-A/30,07E-NATIXIS:19,21e-S.-G:133, E.Ajourd’hui-BNP:38,18E.C.A:5,32E-NATIXIS:2,52 E.Pareil pour St-Gobain,Lafarge,Alstom .L es pertes sont échelonnées de 50% à 600 %.a votre bon coeurs Messieurs Dames..Le scepticisme de Delamarche est parfaitement justifié.probus
il faut lire: 2007 et non pas 1987.probus