(source : ZeroHedge via Quiperdgagne.fr)
Addendum (3 mai) : l’éclairage de Philippe Herlin, qui a relayé hier l’info :
Deutsche Bank, la banque la plus exposée aux produits dérivés dans le monde
(source : ZeroHedge via Quiperdgagne.fr)
Addendum (3 mai) : l’éclairage de Philippe Herlin, qui a relayé hier l’info :
Deutsche Bank, la banque la plus exposée aux produits dérivés dans le monde
Plus de 20 fois le PIB allemand…
Wagner dépassé !
Chute absolue…
Maintenant
Là, Angela !
Zu hohes Risiko: Deutsche Bank braucht dringend neues Kapital
Die Deutsche Bank muss neue Aktien im Wert von 2,8 Milliarden Euro ausgeben. Die Bank muss wegen der hohen Risiken ihr Eigenkapital stärken. Wegen der Derivate-Bombe, die in den Büchern des Geldinstitutes tickt, ist jedoch deutlich mehr nötig. Die Bank-Kunden sollten in den kommenden Wochen genau hinsehen, was sich bei der DB tut.
http://deutsche-wirtschafts-nachrichten.de/2013/04/30/zu-hohes-risiko-deutsche-bank-braucht-dringend-neues-kapital/
Le chiffre notionnel ne veut pas dire grand chose, les produits dérivés étant évalués sur la base d’échanges de flux et non par dénouement des opérations débouchant sur l’achat ou la vente d’un produit financier sur le marché spot. Si la DB lève du capital sur le marché financier, c’est pour se mettre en règles avec les nouvelles contraintes réglementaires relatives à la composition du capital bancaire Tier 1 et 2 prévues dans la réglementation Bâle III. Il s’échange d’un échange de bonne manières entre banques, les investisseurs étant étant eux-mêmes des banques. Pour peu qu’il s’agisse d’actions échangeables en obligations, c’est tout benef pour la DB qui va pouvoir se recapitaliser en refinançant ses actifs par l’émission d’obligations qui seront transformées en actions pour être éligibles au capital réglementaire.
Cf. l’analyse de Philippe Herlin, qui vient de relayer l’info :
http://fr.goldbroker.com/news/deutsche-bank-banque-plus-exposee-produits-derives-monde-246.html
@oops
Pour essorer le linge il faut une machine à laver et un tambour dont la vitesse de rotation est très élevée… Parfois les roulements « pètent » et la machine est morte… surtout si la charge de linge était trop forte.
Jean LENOIR
Ping : PART 01 | MAI 2013 | Business BANKS | Pearltrees
@THEOPT
Tannhauser by Chevalier_du_Christ
En composant Tannhäuser, Wagner aborde la question du choix qui se présente à tout homme d’action, entre sensualité et renoncement, désir et raison, faiblesse et sagesse. L’homme peut-il être maître de ses passions ?
Jean LENOIR
Wagner qui empruntait la femme de ses collègues artistes n’était pas une référence en ce qui concerne la maîtrise de la sensualité…
pardon,
fin du lien erronée . UYHIY668sYs
Jean LENOIR
Jean,
Comme ça ne marche pas plus, je suis allé chercher un autre lien…
MEDIAPART, Paul Jorion : « La zone euro est à deux doigts de l’éclatement », le 30 avril 2013.
Mediapart : Un économiste grec, Yanis Varoufakis, considère sur son blog que le mémoire de la Bundesbank est un acte de guerre et annonce la fin de la zone euro telle que nous la connaissons. Partagez-vous cette analyse ?
Paul Jorion : Les conclusions de Yanis Varoufakis au billet alarmiste qu’il poste sur son blog sont probablement bonnes, mais pas pour les raisons qu’il avance. Entre la Grèce, Chypre, le Portugal, il est clair que c’est l’Allemagne qui tient la zone euro. Elle a commencé à faire les comptes. L’addition devient de plus en plus lourde et les risques aussi, comme le traduit Target 2 (système de compensation intra-européen qui montre que l’Allemagne est créditrice à hauteur de 700 milliards d’euros à l’égard du reste de la zone euro). Enferrée dans sa position d’exportateur net, elle devient de plus en plus en risque. Les Allemands sont devenus les seuls répondants. La zone euro est devenue un fardeau beaucoup trop lourd pour eux. L’intérêt calculé de l’Allemagne est de couper le cordon.
Mediapart : Peut-elle décider de le faire ?
Paul Jorion : La raison voudrait que l’on arrête la politique du chacun pour soi, qu’on rebâtisse un ordre monétaire international, dont l’absence depuis 1971 entraîne tout le monde par le fond. Au niveau européen, la construction telle qu’elle a été faite montre toutes ses lacunes et ses erreurs. Il faudrait aller vers plus de fédéralisme, afin qu’un système budgétaire et fiscal commun vienne compléter la monnaie unique. Mais si cela se fait, ce sera contre les opinions publiques. Celles-ci ont décroché du projet européen : elles souhaitaient une Europe des citoyens, elles n’ont que l’Europe des marchands. À ce stade, il y a toutes les raisons d’être pessimiste. Nous sommes dans une période très critique. La zone euro est à deux doigts de l’éclatement. Le système est dans une telle situation de fragilité que la moindre étincelle peut le faire exploser.
http://www.pauljorion.com/blog/?p=52999
@ brunoarf
Merci pour vos interventions mais de grâce , pas d’extraits de Jorion autant agréables qu’un laxatif .
A reblogué ceci sur Sam Révolte.
Vers une nouvelle monnaie européenne.
Sur son blog, l’économiste Yanis Varoufakis souligne l’importance historique du document de la Bundesbank publié dans le journal Handeslblatt. Ce document de la Bundesbank montre que l’Allemagne est en train de suivre une Grande stratégie :
l’Allemagne souhaite créer une nouvelle monnaie, qui réunirait tous les pays situés à l’est du Rhin et au nord des Alpes.
La monnaie actuelle, l’euro, resterait la monnaie des pays d’Europe du sud et de la France.
Lisez cet article :
Faites votre choix, cher lecteur : voyons-nous une Grande erreur de la Bundesbank ? Ou alors une Grande stratégie, dont l’objectif est d’aboutir à une nouvelle monnaie à l’est du Rhin et au nord des Alpes, nouvelle monnaie inutilisée par les pays en déficit et par la France ? Je sais sur quelle interprétation je parierais de l’argent.
You take your pick, dear reader: Do we behold a Bundesbank Grand Error or a Grand Strategy, the purpose of which is to bring about a new hard currency east of the Rhine and north of the Alps, unencumbered by the deficit countries and France? I know which interpretation I would place money on.
http://yanisvaroufakis.eu/2013/04/27/intransigent-bundesbank-mr-jens-weidmanns-surreptitious-campaign-to-bring-back-the-greater-deutsch-mark/
Rappel des chiffres du chômage en Europe :
1- Médaille d’or : la Grèce. 27,2 % de chômage.
2- Médaille d’argent : l’Espagne. 26,7 % de chômage.
3- Médaille de bronze : le Portugal. 17,5 % de chômage.
Et les pays qui ont le moins de chômage ?
24- Pays-Bas : 6,4 % de chômage.
25- Luxembourg : 5,7 % de chômage.
26- Allemagne : 5,4 % de chômage.
27- Autriche : 4,7 % de chômage.
C’est terrible à dire, mais les chiffres du chômage ne doivent plus être appréciés eu égard à une situation nationale donnée, mais par rapport à la globalité de la zone économique concernée. En ce qui concerne l’Europe, le chômage doit être vu à plusieurs niveaux qui constituent autant de cercles concentriques par seuils d’intégration économique : le premier cercle est celui de l’Etat national, le second celui de la zone euro et le troisième l’UE à laquelle on peut ajouter un quatrième cercle qui est celui des pays associés par des accords de libre échange, comme les Etats-Unis ou l’Amérique du Sud qui constitue un débouché pour le surplus de main-d’oeuvre des pays d’Europe du Sud. Il ne faut plus raisonner au niveau national mais en fonction des différents niveaux d’intégration avec les pays associés, dans la mesure où l’économie est structurée par rapport à des schémas d’intégration structurelle, tels que la répartition des actifs productifs dans différents pays en fonction de l’optimisation de la chaîne de valeur, avec les pays voisins vers lesquels la main-d’oeuvre excédentaire est censée migrer en fonction du principe de flexibilité chers à nos technocrates européens qui ont eu l’intelligence de prévoir la libre circulation des personnes à l’intérieur de l’Espace Schengen. Ainsi l’Allemagne et l’Autriche voient affluer chez elles des masses de migrants attirés par de meilleurs perspectives d’emploi. Malheureusement les modèles économiques n’ont pas prévu qu’il est difficile à un humain, voire impossible de passer sa vie à apprendre de nouveaux métiers comme de passer son temps à migrer de pays en pays en fonction des opportunités de marché, comme on déplace le capital en changeant l’allocation des actifs.
Très juste oops ! Le marché-roi est en train de tuer toute idée (et aussi toute réalité) de société humaine.
Pour Jean LENOIR:
J’ai égaré vos coordonnées. Pouvez-vous me les renvoyer SVP (à delaciterne@yahoo.fr )?
Merci !
Tour celà est complètement …incompréhensible !
Ping : Produits dérivés : Deutsche Bank plus exposée que JP Morgan - gastraudiome