« Oui, le genre ça existe et nous allons l’enseigner dans les écoles »

Laura Slimani, présidente des Jeunes socialistes, 1er février 2014.

(source : Egalité & Réconciliation via Aux infos du nain)

Rappel : Le Petit Nicolas et la théorie du genre

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A propos Olivier Demeulenaere

Olivier Demeulenaere, 58 ans Journaliste indépendant Macroéconomie Macrofinance Questions monétaires Matières premières
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22 commentaires pour « Oui, le genre ça existe et nous allons l’enseigner dans les écoles »

  1. « Sous couvert de non-discrimination, les paragraphes 1, 2 et 3 érigent en nouvelles valeurs de l’Europe l’homosexualité masculine, le lesbianisme, la bisexualité, la transsexualité, etc…

    Le paragraphe 4 fixe les étapes d’un processus totalitaire à cet effet :

    Mobilisation à cet effet de toutes les agences payées par les contribuables européens (au point A3) ;
    Propagande auprès de la jeunesse dans l’éducation (au point D i)) ;
    Imposition du mariage homosexuel à tous les États membres (au point H iv)) ;
    Liberté de promotion de l’homosexualité, « gay pride » et autres (au point I) ;
    Criminalisation de toute critique rebaptisée « discours de haine » (au point H) ;
    Droit d’asile politique accordé aux LGBTI non-européens (au point K).
    Cependant, au moment du vote, courageux mais pas téméraires, impressionnés par les courriels reçus, les députés UMP ont finalement voté contre le texte qu’ils avaient présenté.

    Puisse ce cas de cynique duplicité ouvrir les yeux des électeurs, et spécialement de ceux qui ont défilé dimanche dernier par centaines de milliers pour défendre la famille.

    • xavib dit :

      C’est ce que disait MLP dans le débat avec Moscovici : l’Europe avec le rapport Lunacek va nous imposer tous ces délires.

      • yvan dit :

        Je pensai que la guerre des religions l’emporterait dans cette coupure de l’argent facile.
        Me suis planté, sur ce coup-là..

        A priori, ce sera finance contre fascisme.
        Et, chose amusante, de la part d’un descendant de Résistant, la seule chose qui ressort de la dernière guerre mondiale, avant la suivante, est qu’ils se sont entretués…

        Y’a donc tout de même de l’espoir pour le genre humain.

      • yvan dit :

        Notez, finance et fascisme, deux religions aussi…

  2. matbee dit :

    MANIFESTER NE SERT PLUS A RIEN, ILS S ‘ EN BATTENT LES COUILLES
    IL Y A QU ‘UNE SEULE SOLUTION, ELLE EST SANS APPEL…

  3. THEOPT NEWZE dit :

    Bordel a moine, Corneguidouille …pas de cerveau ces politiconnards de la theorie du genre, mais une grosse quenelle, rien qu’une grosse quenelle. Leur bouffer la quenelle a tous, devoir sacre.

    Ignorant de leur mission de gestion. Noms a graver sur les tables de la quenelle de l’infamie.

  4. brunoarf dit :

    Bon anniversaire, le coup d’Etat !

    C’était il y a six ans, le 4 février 2008, à Versailles.

    Les députés et les sénateurs étaient réunis en Congrès, à Versailles, pour voter le projet de loi constitutionnelle modifiant le titre XV de la Constitution.

    Si les députés et les sénateurs avaient voté « contre », un référendum sur le traité de Lisbonne aurait été organisé.

    Si les députés et les sénateurs avaient voté « pour », il n’y aurait pas eu de référendum sur le traité de Lisbonne.

    Résultat :

    Les députés et les sénateurs français se sont rendus complices d’un coup d’Etat : ils ont voté « pour » (560 voix).

    Seuls 181 députés et sénateurs ont résisté au coup d’Etat : ils ont voté « contre ».

    Conséquence : il n’y a pas eu de référendum sur le traité de Lisbonne.

    Le traité de Lisbonne a été adopté trois jours plus tard par le Parlement français.

    Le peuple français a donc vu son vote au référendum du 29 mai 2005 bafoué.

    La construction européenne est anti-sociale, anti-populaire, anti-démocratique.

    http://www.assemblee-nationale.fr/13/scrutins/jo9000.asp

    • Un rappel qui s’imposait en effet, merci.

    • yvan dit :

      Ouaich…
      Et balladur qui a fait voter par l’assemblée « nationale » l’accord de privatisation de TOUS les services publics alors qu’il était premier ministre..??
      Certes, ça remonte à loin MAIS ne doit JAMAIS être oublié.

      AGCS : Accord Général sur le Commerce et les Services.
      500 pages et DEUX MILLE CINQ CENTS PAGES D’ANNEXE que les députés devaient lire en 36 heures.

      Si vous voyez des coupables plus évidents, envoyez-moi un fax.

  5. soyouZ dit :

    Peillon et ses complices veulent dépouiller les enfants de la république de toutes leurs attaches familiales et religieuses… SAUF quand il s’agit de la Shoah

    • « Toujours plus jeune, plus trash, plus violent » : l’enquête d’une ex-prof à la brigade des mineurs – LIRE !

      L’écrivain Claire Berest (© Philippe Matsas/Plein Jour)
      Publié le 4 février 2014

      Yeux immenses et frange sixties, Claire Berest me reçoit dans son appartement cosy du 18e arrondissement parisien. Cinquième étage à vue plongeante sur les voies de la gare de l’Est, bibliothèque d’ex-étudiante en lettres et, sur un mur, souligné de deux dates (1802-1885, naissance et mort), un portrait de Victor Hugo signé de son compagnon.

      Un café et quelques volutes de cigarettes plus tard, la conversation roule sur ces Enfants perdus qu’elle vient de publier. Pourquoi cette jolie brune de 31 ans s’est-elle lancée dans une enquête de plusieurs mois sur la Brigade des mineurs ? Elle raconte comment, propulsée prof de français en Seine-Saint-Denis, à 25 ans, elle a démissionné au bout d’un an et cinq jours. Dès le premier cours, « un élève explosait une table ». Dix ans à peine et un abîme la séparaient des ados qui lui faisaient face.

      « Là on en est à gérer des gamins qui sont en cinquième ou sixième »

      C’est ce gouffre qu’elle a voulu sonder, à travers le prisme -exagéré, mais générationnel ?- de la Brigade des mineurs. « J’ai eu une expérience submergeante, c’était un vrai échec. Je n’ai rien compris aux gens en face de moi. Pris un par un, ils étaient attachants. En groupe, ils étaient en meute.J’ai tout lâché pour devenir écrivain. » Ce livre est né d’une interrogation : « Pourquoi je ne comprends pas les jeunes d’aujourd’hui ? »

      Très vite, elle a recueilli une avalanche d’histoires, chaque policier lui racontant d’emblée dix ou douze anecdotes pour illustrer ses propos ou son sentiment d’impuissance (« la police judiciaire, note l’auteure au passage, a de moins en moins d’effectifs »).

      D’où 180 pages qui prennent à la gorge le lecteur, et où reviennent souvent les écrans qui hantent les vies des adolescents d’aujourd’hui, comme le montre ces jours-ci l’agression filmée d’un handicapé par des mineurs.

      Ce qui frappe aussi, c’est l’extrême jeunesse des auteurs de délits. « Dans le dernier dossier que l’on a pris à la permanence, dit une enquêtrice, les auteurs ont 12 ans. Et à 12 ans, ils sont dans des affaires de sodomie et de fellation. A 12 ans, en sixième. » Les victimes sont « deux jeunes filles à qui l’on a demandé (…) de faire ces actes et elles ont été filmées (…) Après on les fait chanter à cause des vidéos ».

      Une policière reconnaît un décalage « avec cette génération, qui voit des films pornos avant de passer à l’acte ». Et de poursuivre : « Rien qu’en ce qui concerne les dossiers d’abus sexuels entre ados, j’ai vraiment vu l’âge des gamins baisser. Je suis arrivée, c’était des enfants en classe de seconde ou première. Ils avaient autour de 16 ou 17 ans. Là on en est à gérer régulièrement des gamins qui sont en cinquième ou sixième ».

      « Le plaquages d’images ultra-trash sur leur première fois »

      Des témoignages d’enquêteurs? Il y en a pléthore. Commençons par celui-ci : « Je me souviens d’un jour, on recevait un gamin de 10 ans, un tout petit bonhomme, on lui aurait donné le bon dieu sans confession. Il était là parce qu’avec des copains du même âge, ils avaient voulu reproduire les images qu’ils avaient vues dans un film porno ».

      « J’ai pensé qu’à un moment donné, on allait arriver à un point de rupture et que ça allait redescendre. Mais (…) c’est toujours plus jeune, plus trash, plus violent. A 12 ans, là, ça ne me fait plus rire », témoigne un autre. Un troisième : « Ca évolue négativement depuis deux, trois ans (…) J’ai le souvenir de la première gamine de 12 ans que j’avais entendue, elle s’était rendue dans une cité pour aller coucher avec un mec qu’elle avait rencontré sur Internet. Cela m’avait choqué. C’est juste des gosses ».

      Ce qui choque aussi Claire Berest, ce sont ces « gamines qui se font filmer lors de leur premier acte sexuel, lors de leur perte de virginité. Au lieu d’y aller à tâtons, il y a le plaquages d’images ultra-trash sur leur première fois, avec d’autres gens et des smartphones. Et ça se passe dans tous les milieux : c’est une question de génération, ce rapport à l’image constant. »

      Une « génération ultra-connectée avec des conséquences qu’on ne mesure pas »

      Tous les milieux : c’est une autre dimension du livre, qui se fait l’écho d’une série de viols dans les beaux quartiers parisiens. Des jeunes gens « récupéraient en boîte, en soirée, des jeunes filles complètement ivres (…) Une des filles a fini par porter plainte. On a mis la main sur les téléphones portables des garçons. Ils avaient gardé tous les numéros de filles : elles étaient enregistrées avec leur prénom suivi de « sasa ». Pour « salope ». Ca signifiait qu’ils avaient déjà couché avec. Ils avaient entre 16 et 20 ans et venaient de familles bien sous tous rapports du VIIe arrondissement ».

      Car la police, insiste Claire Berest, met à nu un contenu insoupçonné des parents. « En fouillant, lors des enquêtes, les téléphones portables, les ordinateurs, ils ont un accès inédit aux messages les plus crus » (ne parlons pas des photos).

      Ce qui surprend, enfin, c’est l' »absence de projection » des auteurs de délits « comme si l’autre était d’une nature radicalement différente ». Claire Berest avoue s’interroger sur cette « génération ultra-connectée avec des conséquences qu’on ne mesure pas. Les parents tombent de leur chaise quand on leur apprend les délits de leurs enfants. Moi-même je suis tombée de ma chaise. Ce monde nous échappe. Il faut les protéger des dérives trop graves. »

      Et maintenant ? La jeune femme, qui a déjà à son actif deux romans et un essai sur sa démission de l’Education nationale compte « enchaîner sur un autre livre, un roman. Pour moi, ce n’est pas fini. Je laisse reposer. J’ai été très touchée par les jeunes filles, la cyber-intimidation. Comment peut-on se suicider à 12, 13 ans à cause de publications ou d’insultes sur Facebook ? » Mais elle se refuse, si elle consacre une fiction à la cyber-criminalité, à être « dans l’à-peu-près. » Pas plus qu’elle n’a voulu l’être en rédigeant ces Enfants perdus dédiés « aux enquêteurs de la brigade des mineurs ».

      -> Enfants perdus, Enquête à la Brigade des mineurs, de Claire Berest (Plein Jour, 18 euros)

    • christiane dit :

      Et d’après son complice Valls, la Shoah doit être sacralisée ! rien que ça !!

  6. Le graphique qui montre l’échec des politiques européennes de convergence entre l’Allemagne et ses voisins.: http://www.economonitor.com/wp-content/uploads/2014/02/wood3.jpg

    http://www.economonitor.com/blog/2014/02/eurozone-macroeconomic-framework-reducing-internal-and-external-imbalances/?utm_source=feedburner&utm_medium=email&utm_campaign=Feed%3A+economonitor%2FOUen+%28EconoMonitor%29

    L’Europe est en train de savonner la planche qui la soutient, en provoquant de secousses sociales telles, qu’elle pousse inéluctablement les peuples à la révolte contre ses élites perverties qui bafouent le contrat social fondé sur l’équité et l’intégrité dans les rapports entre la société civile et l’Etat. Au lieu de quoi l’Etat se fait le complice des proxénètes et des réseaux pédophile en développant la perversion morale conçue comme condition indispensable à la mise en esclavage des peuples privés de leurs ressources morales.

  7. Un exemple à suivre qui montre qu’il est possible de tenir tête aux usuriers en retournant contre eux la logique des marchés qui veut que les actifs d’un pays soient évalués à leur juste prix ,sans interférence de corps intermédiaires qui viendraient fausser les prix des actifs par des critères arbitraires de notation ayant force de loi abusive sur les marchés….

    La Cour des comptes italienne a ouvert une enquête contre Standard and Poor’s , Moody’s et Fitch. Elle juge que leurs dégradations successives de la note de la dette souveraine du pays sont injustifiées. La demande de dédommagement pourrait aller de 117 à 234 milliards d’euros.

    Selon le Financial Times , un des griefs du parquet serait que les agences de notation concernées n’auraient pas pris en compte dans leurs évaluations le riche héritage de l’Italie en matière d’ « histoire, d’art et de paysages (…) qui est à la base de sa solidité économique ». Les agences n’auraient donc pas su « apprécier la dolce vita », résume ironiquement le journal britannique.
    Pour Standard and Poor’s, la demande de dédommagement du procureur pourrait atteindre la somme de « 234 milliards d’euros ». « Si une telle plainte devait être déposée à l’avenir, (SP) considère qu’elle serait frivole et sans valeur », conclut l’agence dans une brève réaction à l’AFP. De leur côté, S&P et Moody’s ont jugé ces accusations « sans fondement ».
    http://www.lesechos.fr/entreprises-secteurs/finance-marches/actu/0203294726142-l-italie-reclame-des-centaines-de-milliards-aux-agences-de-notation-648146.php?xtor=RSS-2059&utm_source=dlvr.it&utm_medium=twitter

  8. Jack dit :

    Il y a eu le nazisme, le communisme et maintenant le socialisme.

    • Ils appliquent leur programme à la lettre. Mais ils ont vont trop vite. Il sont trop sûrs de leur puissance qu’ils pensent absolue après des décennies de laminage idéologique, ce qui leur fait commettre de graves erreurs, comme celles de liguer la société civile contre eux en lui fournissant un point de ralliement idéal constitué par une cause commune autour de la défense des valeurs fondamentales, comme la protection de l’enfance, qui reste une valeur sacrée pour la très grande majorité des populations…

  9. Patrick dit :

    Les fumiers. Ils veulent vraiment tout détruire ! Pas d’autre solution que la guillotine, le gibet ou le peloton d’exécution.

    • christiane dit :

      @ Patrick, je suis d’accord. Il n’y a pas d’autre solution pour se débarrasser de cette vermine qui nous ronge et nous détruira si on les laisse faire. Je crois que le 26 janvier et le 2 février s’est passé une formidable union inattendue qui a du faire peur au pouvoir, et c’est tant mieux. Valls, cet opportuniste à l’ambition démesurée a commis une faute qui se retourne contre lui en soudant les Français de souche et les Français de l’immigration qui, grâce à Dieudonné, à Alain Soral et Farida Belghoul ont compris où se trouvait l’ennemi commun.

  10. Bonnal dit :

    Cette petite perruche nommée Slimani a au moins un mérite : elle met à nu l’hypocrisie et la duplicité des chefs socialistes qui jurent la main sur le coeur que la théorie du genre n’existe pas et qu’ils veulent juste l’égalité homme-femme… Haro sur les « stéréotyopes sexuels » !

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