« Déjà fort décriées en France, les méthodes du journalisme français n’ont pas non plus une image très glorieuse à l’étranger.
En témoigne Mina Lee (pseudonyme), une étudiante sud-coréenne qui a travaillé en tant que « fixeuse » pour une chaîne de télévision française. Une expérience qu’elle n’oubliera pas, dans le mauvais sens du terme… Sur Rue89, elle racontait il y a quelques semaines sa désagréable collaboration avec ces pros qui ne connaissent rien à leur sujet, hurlent sans arrêt, prétendent être les « meilleurs » et se moquent de la réalité au profit d’un scénario préconçu dicté par la production.
Récemment, Mina Lee a fait la « fixeuse » pour une chaîne de télévision, qu’elle ne nomme pas, pour un reportage « très original » sur le thème : « Corée du Sud, la Mecque de la chirurgie esthétique. » Pour cela, elle a dû s’adapter aux méthodes des journalistes français : mépriser, tricher, mentir ; le tout en râlant comme il se doit. Certes, ces méthodes sont largement répandues dans les autres pays mais, selon cette jeune journaliste, jamais avec une telle intensité. « Le comportement de cette équipe de reportage a dépassé tout ce que je pouvais imaginer », explique-t-elle avant d’ajouter : «C’était une expérience précieuse pour ma vie professionnelle, qui m’a convaincue de ne jamais devenir journaliste française ».
L’EXPERIENCE
« Allez, tourne vite : il y a pas mal de monstres qui sortent », chuchote un journaliste à son cameraman à la sortie d’une clinique de chirurgie esthétique. Ce genre de discours, raconte Mina Lee, est loin d’être une exception. Durant tout le tournage, le journaliste français, « jamais content de rien », n’avait de cesse de se plaindre et de mépriser totalement le sujet mais aussi les individus qui le composaient. « Nous ne nous sommes pas donné la peine de venir de Paris jusqu’ici pour tourner cette merde ! », s’exclamait-il régulièrement.
Pourtant, il ne connaissait rien du sujet qu’il avait entrepris d’expliquer au public. « Il n’avait pas préparé son tournage. Il ne connaissait rien à ce pays où il avait cinq jours pour faire un reportage sensationnel d’une vingtaine de minutes. Il n’avait même pas lu les notes sur le sujet faites par la stagiaire à Paris, qui préparait le sujet. »
Mais ce n’est pas tout. Notre jeune stagiaire n’est pas au bout de ses surprises : « Selon eux, pour devenir bon journaliste, il faut être très fort en mensonge. » Un modèle du genre pour les apprentis journalistes… « J’ai vite appris à ne plus poser trop de questions. A accepter le mépris, le mensonge, ou le trucage. Car à chaque moment, il fallait truquer la réalité pour la faire rentrer dans leur scénario », raconte la sud-coréenne atterrée ».
Rappel : Journaliste, cette profession qui a trahi la France
Lire aussi : Le Pape dénonce le péché de « désinformation médiatique »
« Je considère que les péchés les plus graves que commettent les médias sont ceux qui concernent les contre-vérités et les mensonges, et ils sont trois : la désinformation, la calomnie et la diffamation ».
Considérant que le manquement le plus grave était la désinformation, le Pape a même donné sa définition de celle-ci.
« La désinformation, c’est ne dire que la moitié des choses, celles qui me conviennent, et ne pas dire l’autre moitié : de sorte que celui qui regarde la télévision ou écoute la radio ne peut bien juger les choses parce qu’ils n’a pas tous les éléments, car ils ne lui ont pas été livrés », a déclaré le Saint Père, qui se révèle ainsi médialogue averti…
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chez BFM TV – si vous avez un contrat de travail à signer – on ne vous permet même pas de le lire – ………. mépris
C’est M6 (RTL), jamais des phrases de plus de cinq mots et mes motes de plus de cinq lettres !!!
Une profession de vendu(e)s.
Lorsque la dictature s’installe, peu sont ceux qui osent résister… Courber l’échine, mentir, flagorner, tourner la vérité dans le sens du vent…
Quelques résistants cependant travaillent avec opiniatreté, constance et probité …parfois au péril de leur vie. Honneur à eux : l’histoire les retrouvera toujours ces Jean Moulin de l’action.
Jean LENOIR
Pour compléter le tableau, il faut ajouter que les journalistes français sont à 75% de gauche et majoritairement incultes et illettrés (leur absence de maîtrise de la langue française étant proportionnelle à leur jeunesse).
le jeunesse n’a rien à voir là-dedans
j’ai lu les textes d’un professeur de droit – doctorat – au secours ………..
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