Quoi qu’on dise, quoi qu’on fasse, c’est plié. Pour cet homme-là, rien n’est au-dessus de sa volonté ni de son intelligence. Et puis, quand même, cette politique, ces “réformes” (mot magique, sacro-saint, devant lequel chacun se sent obligé de se prosterner), c’est – je cite – « ce qu’attendait l’Allemagne », non ? Que vous faut-il de plus, Français ? Vraiment, vous êtes des ingrats… Vous voyez bien que cette politique-là donne de bons résultats ! Ah non, vous ne trouvez pas ? Mais justement, c’est parce qu’on n’en fait pas assez… Donnez-nous encore quelques années, quelques décennies peut-être… et vous verrez, les résultats viendront… Patience ! OD
Depuis Bruxelles, le président français a affirmé qu’il ne modifierait pas sa politique, jugeant « normal » que la France connaisse des mouvements de protestation.
Emmanuel Macron a estimé ce vendredi que les mouvements sociaux n’avaient aucun impact sur les réformes en cours en France et qu’ils ne modifieront pas la politique de son gouvernement.
« L’impact » des mouvements sociaux « n’existe pas car il est normal » qu’un pays qui mène des réformes « connaisse des mouvements sociaux », a répondu le chef de l’État au cours d’une conférence de presse à l’issue d’un sommet européen à Bruxelles.
Ces mouvements « ne sont pas de nature à conduire le gouvernement à revenir sur ce qui a commencé à être mis en oeuvre », a-t-il ajouté.
Les réformes entreprises sont « ce que nombre de nos partenaires, et en particulier l’Allemagne, attendaient depuis de nombreuses années, et à juste titre. Nous continuons à le faire et cela je crois renforce plutôt la crédibilité », a-t-il plaidé.
La journée de mobilisation des cheminots et des fonctionnaires jeudi a fait descendre dans la rue plus de 300.000 personnes et les syndicats de la SNCF ont annoncé une grève intermittente (deux jours tous les cinq jours) pendant trois mois.
BFM Business/AFP, le 23 mars 2018
Rappels :
Le chef de gare Macron : « Il y a les gens qui réussissent et les gens qui ne sont rien »
Macron, c’est Merkel déguisée en Lorelei pour vous charmer (B. Bertez)
faire descendre les gens dans la rue c’est ridicule !
c’est seulement la grève qui le fera changer !
les syndicats sont vraiment là pour nous faire perdre notre temps et nous distraire !
Encore un président « normal » ? 😦
« Lapierre tombale de la fr’rance est sécurisée par on ne sait qui…?
Même plus besoin de présenter une carte de police pour faire « obtempérer » par la force…
Suffit d’être un groupe sous contrôle de « Kamel »…
Vive la fr’rance et leurre hop…
Cet homme allie le cynisme du politique (qu’il n’est pas) à la froideur du technocrate (qu’il est sans aucun doute). Le peuple : tous ceux qui ne sont « rien » !
Regardez cette carte.
C’était l’époque où l’Europe était unie.
C’était l’époque où l’Europe unie était devenue une réalité.
Consciemment ou inconsciemment, les européistes de droite, les européistes de gauche, les européistes du centre, les européistes écolos regrettent cette époque : « l’Europe unie ».
Mais nous, nous voulons libérer la France.
Nous voulons que la France sorte de « l’Europe unie ».
Frexit.
Saisissant …pour ceux qui n’avaient pas compris (ne figurant pas le chapeautage de la pyramide, situé plus à l’Ouest – maintenant, à Jérusalem).
Les forces du Mal encore et toujours avec ce mépris qui est la marque de la parfaite dictature, qui, comme toutes les dictatures, se terminera dans un bain de sang.
…ces bains de sang, lassant à force d’habitude, hélas banalisés comme les statistiques des accidents de la route dans les années soixante, soixante-dix.
Jean LENOIR
A y bien regarder, il vieillit bien vite le dictateur, et pas dans le bon sens ! D’ici à ce qu’il dépasse son mentor Attila, pardon …Attali…
Jean LENOIR
Hollande, Peillon, Taubira et leur bande n’ont rien écouté non plus à propos de leurs tristes réformes sociétaires…
C’est desormais une caractéristique de de nos gouvernements…
Nos « partenaires » allemands attendaient aussi beaucoup de la France il y a 75 ans, France dont les dirigeants de l’époque ne se sont pas fait prier longtemps pour répondre aux demandes …
Quand on dit que l’histoire est un éternel recommencement …