« Selon l’Institut suisse pour la protection des armes nucléaires, biologiques et chimiques (Schweizerisches Institut für ABC-Schutz), le poison prélevé à Salisbury par les enquêteurs de l’OIAC, dans l’« affaire Skripal », est du « BZ ».
L’appellation « Novichok » désigne un programme de recherche soviétique et non pas une substance issue de ce programme.
Le « BZ » est un innervant de l’Otan, agissant dans les 30 à 60 minutes et pour une durée de 2 à 4 jours. L’URSS, puis la Russie, n’ont jamais travaillé sur ce type de substance.
L’Institut suisse pour la protection des armes nucléaires, biologiques et chimiques est une référence mondiale en la matière. Il a procédé à cette analyse à la demande de l’OIAC. »
Voltairenet.org, le 14 avril 2018
Les Skripal ? ….On n’est jamais mieux servi que par ses amis !
Jean LENOIR
Evidemment l’OIAC ne fera aucune communication à ce sujet….
Ping : Experts suisses : Le poison des Skripal était un innervant de l’OTAN | Boycott
Ping : Experts suisses : Le poison des Skripal était un innervant de l’OTAN — Olivier Demeulenaere – Regards sur l’économie – INSURRECTION PACIFIQUE
L’OTAN commence à nous innerver et à nous les briser menues ;o)
Et où sont-ils les Skripal ? Ils vont très bien paraît-il…. Au secret pour éviter de les voir parler de ce qu’ils savent ? Exfiltrés ? Menacés ? Liquidés ?
Décidément ces Anglais ne sont pas seulement perfides, de vrais pourris…
A reblogué ceci sur La vérité est ailleurs.
Personnellement, je ne suis nullement étonnée, c’était vraiment évident ! Au moment des élections en Russie Poutine aurait voulu « liquider » des anciens agents doubles? Pff, c’était tellement grossier que s’en est vexant de nous prendre a ce point pour des cons!
A reblogué ceci sur josephhokayem.
Rien de plus simple que d’ aller voir le site de ce service étatique suisse tout ce qu’ il y a d’officiel, comme on est en Suisse il y a une version en français et voilà ce qu’ on y trouve: Dans les échantillons de l’OIAC de Salisbury, la substance BZ n’a pas été détectée
Extrait de la déclaration du Directeur général de l’OIAC du 18 Avril:
« Nous ne devrions pas avoir un iota de doute sur la fiabilité du système des laboratoires désignés par l’OIAC. Les laboratoires ont pu confirmer l’identité du produit chimique en appliquant les procédures existantes et bien établies. Aucun autre produit chimique n’a été identifié par les laboratoires. Le précurseur de BZ auquel il est fait référence dans les déclarations publiques, communément appelé 3Q, était contenu dans l’échantillon de contrôle préparé par le laboratoire de l’OIAC conformément aux procédures de contrôle de la qualité existantes. Sinon, cela n’a rien à voir avec les échantillons prélevés par l’équipe de l’OIAC à Salisbury. Ce produit chimique a été rapporté à l’OIAC par les deux laboratoires désignés et les résultats sont dûment reflétés dans le rapport. »
Alors qui croire ?