« Faisant référence à Israël lors d’une interview, en août 1983, l’amiral de la marine américaine et ancien chef d’état-major interarmées Thomas Moorer a déclaré : « Je n’ai jamais vu un président – quel qu’il soit – leur tenir tête. Ça dépasse l’entendement. Ils obtiennent toujours ce qu’ils veulent. Les Israéliens savent tout le temps ce qui se passe. J’en étais arrivé au point où je n’écrivais plus rien. Si le peuple américain comprenait l’emprise qu’ils ont sur notre gouvernement, il prendrait les armes. Nos citoyens n’ont certainement aucune idée de ce qui se passe. »
Moorer parlait de façon générale, mais il avait quelque chose en tête, à savoir l’attaque israélienne du 8 juin 1967 contre le navire de renseignement américain U.S.S. Liberty, qui a tué 34 membres d’équipage américains et en a blessé 173 autres. Le navire naviguait dans les eaux internationales et arborait un immense drapeau étatsunien, mais les avions de guerre israéliens, qui avaient identifié le navire comme étant américain, ont même été jusqu’à mitrailler les radeaux de sauvetage pour tuer ceux qui fuyaient le navire en perdition. Il s’agit de l’attaque la plus sanglante jamais commise contre un navire de la marine américaine, hors temps de guerre, et l’équipage méritait de recevoir le plus grand nombre de médailles décerné à un seul navire pour une seule action. Oui, c’est une sacrée histoire de courage sous le feu des projecteurs, mais n’attendez surtout pas que Hollywood en fasse un film.
Le président Lyndon B. Johnson, qu’il brûle en enfer, a même ordonné de rappeler les avions envoyés pour aider le navire sinistré, disant qu’il préférait que le navire coule par le fond plutôt que d’embarrasser son bon ami Israël. Puis vint le camouflage, de l’intérieur même du gouvernement américain. Une commission d’enquête convoquée à la hâte et exécutée sommairement, dirigée par l’amiral John McCain, le père de l’actuel sénateur, n’a délibérément interrogé qu’une poignée de membres d’équipage avant de conclure qu’il s’agissait d’un accident. Les marins qui avaient survécu à l’attaque ainsi que les membres d’équipage des navires de la marine qui sont finalement arrivés pour prêter assistance ont été détenus au secret à Malte avant d’être menacés pour qu’ils jurent de garder le secret. Depuis lors, le Congrès, la Maison Blanche et le Pentagone ont rejeté les tentatives répétées de convoquer une autre véritable enquête. Le sénateur John McCain, récemment décédé, a été particulièrement actif dans le refus de réouvrir l’enquête a la demande des survivants du Liberty.
L’histoire du Liberty montre que la capacité d’Israël à faire agir le gouvernement des États-Unis contre ses propres intérêts existe depuis longtemps. Grant Smith, de l’IRMEP, cite comment l’espionnage israélien réalisé par l’AIPAC à Washington au milieu des années 1980 a abouti à un accord commercial inégal qui bénéficiait à Israël de plus de 10 milliards de dollars par an en plus des subventions directes du Trésor américain et des milliards en dons « caritatifs » exonérés d’impôts faits par les juifs américains.
Si l’amiral Moorer était encore en vie, je pourrais lui dire que la situation vis-à-vis de la puissance israélienne est bien pire maintenant qu’en 1983. Il serait très intéressé de lire un remarquable travail de recherche récemment réalisé par Smith, qui démontre exactement comment Israël et ses amis travaillent de l’intérieur du système pour corrompre notre processus politique et faire en sorte que le gouvernement américain travaille en faveur des intérêts de l’État juif. Il décrit en détail comment le Lobby israélien a réussi à manipuler la communauté des forces de l’ordre pour protéger et promouvoir l’agenda du Premier ministre Benjamin Netanyahou ».
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Article original : Unz Review, le 4 septembre 2018
Rappels :
Il faut oser s’opposer à Israël (Ph. Gilardi)
Alain Gresh : « Il n’y a pas de lobby plus puissant aux Etats-Unis que le lobby pro-israélien »
Bravo et Merci pour le dévoilement enfin à grande échelle des GARDIENS sionistes de LA MATRICE !
Bien sûr il faut oser s’opposer aux US-City, bien sûr il faut oser s’opposer à Israel et virer tous ces psychopathes. C’était le verrou à faire sauter.
Mais attention le temps est compté : nous devons aller regarder encore LE NIVEAU DE PRÉDATION SITUÉ AU-DESSUS, car l’espèce Humaine ne peut plus se permettre d’avoir toujours plusieurs millénaires de retard
– sur la connaissance de LA RACINE DU MAL qui s’abat sur elle et s’est infiltré en elle,
– et sur la connaissance de son pouvoir d’en finir avec l’esclavage sous le joug du mal.
Il était évident que les sionistes allaient tomber un jour : ils étaient trop VOYANTS dans leur arrogance, trop visiblement possédés pour qu’on puisse leur imaginer un autre destin que celui de victimes sacrificielles, le jour où LE SYSTÈME QUI CONTRÔLE NOTRE PLANÈTE aurait besoin d’un rideau de fumée pour semer ses poursuivants.
Le sionisme n’est plus indispensable à la réalisation du PLAN D’ESCLAVAGE SOUS DICTATURE MONDIALE qui est maintenant très près d’aboutir. Le sionisme peut maintenant être jeté en pâture à l’Humanité en colère, pour lui faire croire qu’elle s’est débarrassée du MAL et qu’elle peut s’arrêter là dans sa démarche de libération.
Le système qui contrôle notre planète fera tomber (en réalité ou en apparence) d’autres de ses INSTRUMENTS, pour nous faire croire que nous avons réussi à nous débarrasser enfin de lui. C’est du Damage Control, de la poudre aux yeux.
Attention que l’opération actuelle de liquidation du sionisme ne se transforme pas pour nous en une voie de garage, donc un piège.
« Étant tout à fait conscient de mes limites, je dois à la vérité de
dire que depuis la publication de Pions sur l’échiquier (1955) et
Brouillard rouge sur l’Amérique (1957), et justement parce que je
les ai publiés, j’en ai appris beaucoup plus encore sur le MOUVEMENT
RÉVOLUTIONNAIRE MONDIAL (M.R.M) en rapport
avec l’existence de la conspiration luciférienne, toujours présente,
dirigée contre Dieu et l’homme par ceux qui font partie ici-bas
de la SYNAGOGUE de SATAN (S.D.S.) »
« En bonne justice, je me dois de dire que la SEULE véritable
faute que j’ai commise fut d’avoir été incapable de faire la relation
entre la révolte de Lucifer au ciel et le M.R.M tel qu’il est dirigé
de nos jours. J’ai dénoncé comme responsables de tous nos
maux les banquiers internationaux, l’égoïsme du capitalisme
mondial, le nazisme et le communisme. »
« J’ai intitulé mon dernier ouvrage Brouillard rouge sur
l’Amérique, parce que j’étais pleinement conscient du brouillard
de propagande émis par les Forces du Mal pour empêcher
l’immense majorité des gens de découvrir la VÉRITÉ. Je croyais
avoir pénétré dans ce brouillard – je me trompais ! – les preuves
supplémentaires que j’apporte à mes lecteurs dans Satan, Prince
de ce Monde, sont l’affirmation que je m’étais fourvoyé dans
cette brume de mensonges et de fourberies provenant de ceux affiliés
à la Synagogue de Satan, qui mettent à exécution la conspiration
luciférienne. »
William Guy CARR – Satan, prince de ce monde – 1959
Cliquer pour accéder à satan_prince_de_ce_monde_extrait.pdf
De multiples auteurs hors religions ont fait le constat ci-dessus, chacun avec leurs mots, il serait donc vain d’entrer dans le piège de la division par le « débat » « politique ».
William Carr est simplement le plus simple pour moi à citer sur un post. Je me fous des religions (y compris l’anarchisme, le freudisme, le véganisme, le jeunisme, etc).
Ping : La cinquième colonne israélienne! Thomas Moorer a déclaré : « Si le peuple américain comprenait l’emprise qu’ils ont sur notre gouvernement, il prendrait les armes. Nos citoyens n’ont certainement aucune idée de ce qui se passe.