Le président bolivien Evo Morales s’est lancé à l’ONU dans un réquisitoire contre les Etats-Unis d’Amérique, cet Etat sans foi ni loi qui ne respecte rien ni personne… à part Israël, bien entendu. Trump, à qui il a taillé un costard, était assis presque à côté de lui… OD
(Assemblée générale des Nations Unies, 26 septembre 2018)
Rappels :
Evo Morales à l’UE : « Débarrassez-vous de l’influence américaine, de la dictature du FMI »
La meilleure façon de devenir “dictateur” : déplaire à Washington
Son combat contre la « dictature du dollar » aurait coûté la vie à Chavez
Evo Morales, Rodrigo Duterte …la fin est proche pour l’aigle et ils le lui font bien sentir.
Jean LENOIR
Morales en dit beaucoup mais il manque quand même :
– le trafic de drogue industriel de la CIA
– les assassinats de dirigeants opposants à l’étranger,
– le gazage de pays entiers à coups d’armes chimiques,
– la terreur financière et monétaire..
moi aussi je dois en oublier !
– et malheureusement il relaie la propagande climatique
Bravo et merci de nous passer ce genre de discours !
Tiene cojones !
Risqué quand même, il n’y a pas de pétrole en Bolivie et heureusement sinon sa monnaie ne vaudrait plus grand chose dans peu de temps !