Acte 14 des Gilets jaunes : 230.000 participants (15h30) selon France Police-Policiers en colère

« A cette heure, notre syndicat enregistre une nette baisse des violences par rapport à la semaine dernière.

Toutefois, il faut rester très prudent à cette heure sachant que la baisse de la luminosité se fera de manière un peu plus tardive aujourd’hui.

Cette baisse de la violence est à mettre en relation avec un dispositif de maintien de l’ordre moins offensif avec une nette diminution de l’engagement des moyens de force intermédiaire (LBD, GLI-F4, autres moyens lacrymogène..) contre les manifestants.

La condamnation de la France par l’ONU et l’Europe en matière de répression des Gilets jaunes a semble-t-il conduit à une modification de la doctrine du maintien de l’ordre pour cet acte 14… »

France Police-Policiers en colère, le 16 février 2019

A propos Olivier Demeulenaere

Olivier Demeulenaere, 58 ans Journaliste indépendant Macroéconomie Macrofinance Questions monétaires Matières premières
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15 commentaires pour Acte 14 des Gilets jaunes : 230.000 participants (15h30) selon France Police-Policiers en colère

  1. Robert dit :

    Le comportement de certains GJ… interpelle ! Le philosophe Alain Finkielkraut, pourtant plutôt bienveillant envers les GJ, a fait l’objet d’insultes antisémites au cours de la manif parisienne d’aujourd’hui, filmées en direct par les TV. Au moment où le soutien populaire au mouvement paraît s’effriter, il est dommage que les GJ ne puissent pas – ou ne veulent pas – empêcher ce comportement d’une minorité qui décrédibilise l’ ensemble des GJ…

    • jacquart et jacaton dit :

      « Le comportement de certains GJ… interpelle ! »Comme ceux des Français qui se couchent sous la pression du lobby juif en france. Maintenant un Africain du Nord qui souffle a plein poumon « Finkielkraut antisémite » ce n’est pas une insulte, mais la triste vérité, il est juif POLONAIS participant intellectuellement au gencide(choa) palestinien(ne), les gauchistes de nuit debout le traitaient de »fasciste » …

    • cesaropapiste dit :

      Voilà que même ici on distille des Fake News ?

      Selon l’avis même de ce chien de sioniste, on ne l’a jamais traité de « sale Juif ». A titre personnel, c’est (presque) du pareil au même. Étant de double nationalité franco-Suisse, je pisse allègrement et sur l’odieuse Loi Gayssot et sur la xxxx internationale, en toute tranquillité. Ici, comme en Allemagne et en Autriche, ils ne font pas trop les malins les Untermenschen Sionistes et les autorités ne se hasardent que rarement à user de la chialerie à l’antisémitisme tous les quatre matins, parce qu’ils savent très bien qu’ils seront l’objet de représailles autrement plus radicales qu’en France où la LDJ, la Licra, le CRIF etc etc ont pignon sur rue et table ouverte à peu près partout. Alors la Griveautte et les autres insignes parasites de l’anti-France, comptez désormais les jours qui vous restent avant que le Jugement ne s’abatte sur vous…

      Ma chère France qui est devenue l’un des plus corrompus pays d’Europe ! Quelle honte, quel déshonneur ! Il est vraiment grand temps de nous débarrasser de toutes ces xxx humaines qui empuantissent nos paysages réels ou merdiatiques !

      Voilà les chiens de garde de la xxxx internationale à l’œuvre !

      https://m.youtube.com/watch?v=XRcbv72W9JM

      Qu’ils sachent que nous les retrouveront TOUS, in fine… et alors là…

  2. Ah bah !
    Quand on voit avec quelle délectation les journalopes glosent sur les chiffres tombés (du camion) du Ministère de l’Intérieur…
    Sans compter « 56 »% des français qui voudraient que les manifs cessent…
    Ce soir, un gonze d’un institut de sondage affirmait (sans rire) que 43% de l’électorat de Macron s’était re-mo-bi-li-sé et que ça faisait la différence…
    Alors 43% de 22/23% ça fait combien en donnée corrigée ?
    Queutch…
    JBL

  3. Rodrigo dit :

    Une fois de plus amalgame odieux entre antisionisme et antisémitisme…. pour salir le mouvement des GJ et justifier de nouvelles mesures répressives qui étouffent la démocratie.

    « Le philosophe, essayiste et académicien Alain Finkielkraut a été la cible d’injures antisémites proférées par des individus participant à la manifestation parisienne des « gilets jaunes », samedi 16 février. L’exécutif et le reste de la classe politique ont fermement condamné cette agression verbale.

    « Barre toi, sale sioniste de merde », « grosse merde sioniste », « nous sommes le peuple », « la France elle est à nous ».

    C’est avec ces injures, samedi 16 février, que le philosophe Alain Finkielfraut a été violemment injurié pendant qu’il se trouvait à proximité du cortège de la manifestation parisienne de l’acte 14 des « gilets jaunes ». Quelques heures après les faits, l’académicien a réagi auprès du Journal du dimanche : « J’ai ressenti une haine absolue, et malheureusement, ce n’est pas la première fois. (…) J’aurais eu peur s’il n’y avait pas eu les forces de l’ordre ».

    Plusieurs responsables politiques, dont le président de la République, ont aussitôt condamné fermement ces faits. « Fils d’émigrés polonais devenu académicien français, Alain Finkielkraut n’est pas seulement un homme de lettres éminent mais le symbole de ce que la République permet à chacun. Les injures antisémites dont il a fait l’objet sont la négation absolue de ce que nous sommes et de ce qui fait de nous une grande nation. Nous ne les tolèrerons pas », a tweeté Emmanuel Macron. Son ministre de l’Intérieur Christophe Castaner était l’un des premiers à s’indigner : « Un déferlement de haine à l’état pur que seule l’intervention de la police a interrompu. Assister à une telle scène à Paris, en 2019, est tout simplement INTOLÉRABLE. Je viens de m’entretenir avec Alain Finkielkraut pour l’assurer de mon soutien absolu ».

    • Robert dit :

      Vous avez raison de souligner la distinction entre l’antisionisme de nature politique, et l’ antisémitisme de nature purement raciste. Je n’ai pas remarqué que Finkielkraut ait tenu des propos particulièrement prosionistes… et j’ aimerais croire que les auteurs de ces injures soient capables de faire cette distinction.

      • jacquart et jacaton dit :

        Alain Finkielkraut, Gaza et Le Figaro : un discours grotesque, inique et nauséabond
        Publié le 28-07-2014

        Le Philosophe, écrivain et essayiste, Alain Finkielkraut s’est longuement exprimé sur le site du « Figaro » à propos du conflit israélo-paslestinien. Il se dit notamment « saisi d’effroi devant la haine » qui se déchaîne actuellement contre Israël. En refusant toute critique du pays hébreu, cet intellectuel se déshonore, estime le philosophe franco-italien Daniel Salvatore Schiffer.

        « Il est des interviews, au sein du paysage médiatique français, qui laissent pantois par leur évident manque de déontologie professionnelle, carence dont on ne sait si elle est due à une encore plus flagrante malhonnêteté intellectuelle ou à un étrange, pour ne pas dire pathologique, déni de la réalité.
        C’est le cas aujourd’hui, malheureusement pour ce journal, dans « Le Figaro », lequel vient de réaliser un « grand entretien » avec Alain Finkielkraut, en lui posant un certain nombre de questions, dans le seul but de le dédouaner de tout reproche, manifestement inspirées par la tribune que j’ai publiée tout récemment sur Le Plus.
        Une mauvaise foi patente
        La première question, notamment, fait textuellement référence, mot à mot, à une idée fondamentale dans ma tribune :
        – le fait que j’aie « reproché » à bon nombre d’intellectuels juifs (dont je suis) « de ne pas dénoncer les bombardements israéliens à l’encontre des civils palestiniens comme (ils) s’insurgeaient naguère contre le siège de Sarajevo par les Serbes »
        – la deuxième question fait clairement référence, jusque dans le détail de ma formulation, à ma comparaison, tout aussi essentielle, entre « Gaza, long d’un peu plus de quarante kilomètres et large de moins de dix kilomètres, au ghetto de Varsovie, de sinistre mémoire ».
        Et les interlocuteurs (car ils s’y sont mis, là, à trois !) de Finkielkraut de lui demander, dans la foulée, s’il ne trouve pas cette comparaison (bien que, ayant certes anticiper le reproche, j’aie toutefois pris la peine de spécifier que je ne souhaitais en rien comparer l’incomparable et que je me sois même bien gardé d’employer la problématique expression de « nazis » au regard des actuels dirigeants israéliens) « déplacée », voire « scandaleuse ».
        Ainsi, en ne m’y citant jamais nommément (ce qui n’est pas bien grave en soi) et feignant donc d’ignorer les vérités que j’assène là, ces hypocrites ont en fait décidé de nier, aveugles et sourds, le calvaire des palestiniens à Gaza : chose bien plus condamnable tant sur le plan moral qu’humain !
        Ce genre de méthode, typique de la mauvaise foi la plus patente, a un nom, aussi choquant soit-il à entendre – le négationnisme – Israël niant le droit à l’existence des Palestiniens en tant que peuple libre, détenteur d’un État indépendant et souverain.
        Des arguments d’une effroyable bêtise
        Comment, du reste, s’en étonner lorsque l’on sait qu’il y a maintenant plus de 65 ans qu’Israël nie aux Palestiniens, privés de leur État, tout droit d’exister en tant que peuple libre ?
        Je renchérirais même : Israël se conduit aujourd’hui avec les Palestiniens, notamment avec son infranchissable mur de séparation, comme l’Afrique du sud colonialiste se comportait jadis, lorsque ce pays pratiquait son ignoble politique d’apartheid, avec les Zoulous et autres populations indigènes ! C’est exactement là, par ailleurs, ce que soutenait également ce grand homme, parmi les grands hommes, que fut Nelson Mandela.
        Ce que je faisais en cette tribune n’était pourtant que chose sensée pour tout homme comme pour toute femme de bonne volonté : dénoncer l’assourdissant silence dont se rendent actuellement coupables les intellectuels juifs, à de trop rares exceptions près, face à l’innommable massacre dont Israël, pays auquel je suis particulièrement attaché par mon héritage familial, est en train de perpétrer en toute impunité, dans la Bande de Gaza, à l’encontre de centaines, sinon des milliers, de civils innocents.
        Je ne m’attarderai certes pas ici sur cette misérable manipulation journalistique, doublée d’une invraisemblable lâcheté, dont font preuve ici tant « Le Figaro » que Finkielkraut. Qu’il me soit permis, en revanche, d’y analyser plus attentivement la réponse de Finkielkraut. Sidérante pour un philosophe digne de ce nom : »Ce retournement du devoir de mémoire me paraît être une preuve très convaincante de l’existence du diable. »
        Diantre, je savais que j’allais me faire taxer, par cet agité qui ne sait débattre sans avoir la bave à la bouche, de « traître » à ma propre cause, mais de là à me faire traiter de « diable » pour avoir osé exprimer, en tant que juif, ma compassion envers les Palestiniens lorsque Israël les massacre sans pitié, les assassine du haut d’une bonne conscience plus qu’usurpée, voilà qui me laisse, par l’effroyable bêtise de pareil argument, pour le moins perplexe.
        Il flirte avec des thèses nauséabondes
        Aussi grotesque qu’inique, cette réflexion de Finkielkraut, lequel flirte par ailleurs dangereusement, depuis un certain temps, avec les nauséabondes thèses du Front national. J’ai même du mal à imaginer comment une institution aussi prestigieuse que l’Académie Française a pu élire, sous sa célèbre coupole, pareille caricature de philosophe.
        Davantage : les juifs auraient-ils donc, par on ne sait quel absurde et négatif privilège, le monopole des ghettos et, parallèlement, l’exclusivité, sur cette Terre, du génocide ? Peuple à ce point « élu », fût-ce, en cette tragique et historique circonstance, pour le pire ? Il m’est avis que ce soit là, paradoxalement, un antisémitisme à l’envers, comme à rebours !
        Car voici ce que j’écrivais, à propos du martyre de Gaza, dans la tribune ici incriminée :
        « J’ai mal à mon sens de l’humanité lorsque je vois des mères palestiniennes hurler à la mort sur le cadavre ensanglanté de leur enfant déchiqueté par un missile israélien. A à ces pères et ces mères en larmes, toute ma compassion ! Je suis là, n’en déplaise à ma patrie d’élection qu’est Israël, tout aussi palestinien que juif : l’inhumaine souffrance n’a pas de nationalité, de culture ou de religion ; elle est universelle, et, parfois, je me sens, à entendre ces cris déchirants, couvert de honte. »
        D’où, cette conclusion : être le preuve vivante de l’existence du diable, pour avoir simplement brandi l’universalité de mon humanisme, me confère une importance métaphysico-théologique que, franchement, je ne soupçonnais pas ; j’en suis même plutôt fier ; elle me range de plein droit, en outre, aux côtés de ces autres écrivains sulfureux, poètes maudits et illustres pestiférés de la bien-pensance, que furent autrefois mes chers Lord Byron et Oscar Wilde, sur lesquels j’ai tant écrit ; ce n’est pas la moindre des consolations !Dieu, un odieux alibi pour terroriser.[…..]

        Israël n’est pas digne de son histoire

        Ainsi, face à pareille monstruosité à l’égard non seulement de ma modeste personne, mais surtout des milliers de Palestiniens aujourd’hui massacrés à Gaza, ne me vient-il à l’esprit que cette réplique à l’égard de l’indigne Finkielkraut : votre mémoire est bien vaine, en effet, pour paraphraser le titre de l’un de vos livres.
        Je vous le répète donc ici aussi, porté par ma seule conscience morale et d’homme libre, ce que j’ai écrit, il y a quelques jours, dans ma tribune : rien ne peut justifier pareil carnage. C’est là, de la part d’Israël, qui se devrait d’être un exemple pour l’humanité, inadmissible sur le plan humain.
        Ce crime, hautement répréhensible au niveau moral, s’apparente, quelle que soit votre difficulté à l’admettre objectivement, à un « crime de guerre », sinon un « crime contre l’humanité ». Israël n’est pas digne, en cette mortifère circonstance, de son histoire. Pis : il la dénature, au gré de ses seuls intérêts géostratégiques, et la trahit.
        Israël, État qui vit le jour au lendemain de ce crime unique dans les annales de l'(in)humanité que fut la Shoah, n’a-t-il donc rien appris, ou si peu, des immortelles leçons de son douloureux passé ? Répondre à la barbarie par la barbarie n’est guère une solution ; cet engrenage ne fait qu’attiser la haine et exacerber ce conflit.
        Un homme aux indignations sélectives
        Ainsi donc, Alain Finkielkraut, je vous le redis, à vous qui êtes toujours prompt à fustiger les crimes partout dans le monde à la notoire et irrationnelle exception de ceux perpétrés par Israël, avec une même conviction :
        – faites donc preuve ici d’honnêteté intellectuelle, de courage moral, de noblesse d’âme et de lucidité ;
        – élevez-vous au-dessus des partis, prenez de la hauteur et condamnez le crime, même lorsqu’il provient de votre famille ;
        Vous en sortirez grandis, et le monde vous en saura gré. Car votre mutisme, plus encore que vos indignations sélectives et à géométrie variable, vous déshonore.
        C’est un intellectuel juif épris des inaliénables valeurs de l’humanisme, prônant les principes universels de fraternité et de tolérance, qui vous le dit : votre position, dogmatique et manichéenne, s’avère effectivement une « défaite de la pensée » pour reprendre, ici encore, le titre de l’un de vos propres livres.

        Daniel Salvatore Schiffer.

    • Gamal dit :

  4. zorba44 dit :

    Bon la France se fait rappeler à l’ordre par l’ONU et l’Europe : une saine exposition qui permet d’assurer le droit à l’expression d’une manifestation.

    Lorsque les forces de l’ordre se saisiront des fauteurs de trouble style insulteur Alain Finkielfraut, qui arrange bien le gouvernement et cet éructeur de Castaner – on saura alors faire la part entre ce qui est « prémédité », « suscité » ou « dérive individuelle »…

    Cela participera à un devoir de vérité des nombreuses bavures enregistrées depuis le début du mouvement, dont beaucoup pour le salir et masquer la contestation.

    Jean LENOIR

  5. Charles dit :

    Selon le ministère de Castagnette ils étaient seulement 10 500 à 14H dans toute la France….cherchez l’erreur !

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