Assange est une opération Israël/ Rothschild
« La semaine dernière, les médias britanniques ont réalisé une opération de diversion pour faire oublier que ceux qui ont voté pour le Brexit ont été massivement trahis : “l’arrestation” de Julian Assange à l’ambassade d’Equateur à Londres, un mois après que l’Equateur a reçu 4,2 milliards de dollars de financement du FMI contrôlé par les États-Unis. L’Equateur est également sur le point de conclure un nouvel « accord » commercial avec les Etats-Unis.
Nous avons tous tendance à attendre impatiemment un « héros » contre l’establishment, alors nous ne voyons pas que parfois, un faux « héros » nous est fourni par les médias préférés de la CIA.
Et en effet, il y a des preuves qu’Assange, l’anti -« vérité pour le 11 septembre », est une supercherie du Mossad/CIA, avec une longue histoire liée à la famille la plus riche du monde, les Rothschild dévoués à Israël. Nous devons voir ce que tous les grands gouvernements savent, qu’il n’y a rien de réel chez Julian Assange ou Edward Snowden.
Un historique utile est compilé dans : ‘Wikileaks est une opération Rothschild : Rothschild utilise Wikileaks pour porter atteinte à sa banque rivale, la caution de Julian Assange a été payée par la belle-sœur de Rothschild ».
L’histoire « Assange qui vit à l’ambassade d’Equateur depuis 7 ans » est apparemment un conte de fées, un canular facile à réaliser, avec Assange seulement là pour les photos et les réunions. L’accord FMI-USA pour l’Equateur, non seulement récompense la mise en scène de l’arrestation d’Assange, mais aussi la dissimulation du fait qu’il n’a jamais vraiment vécu là-bas.
Assange a pu facilement entrer et sortir chez des amis de Rothschild, en utilisant des perruques, des lunettes et des moustaches, des uniformes de travail, etc. ; la police de Londres, sous surveillance 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7, a aidé sous les ordres de la sécurité nationale ; le personnel de l’ambassade équatorienne a peut-être été soudoyé et risque une destruction professionnelle, voire pire, plus aucun soutien des médias s’ils disent quelque chose, le cas échéant.
Pour compléter, on peut commencer par noter la relation très amicale et mutuellement élogieuse entre Julian Assange et le premier ministre israélien Bibi Netanyahu, documentée sur Veterans Today.
Et sur le grand site d’information israélien Haaretz :
Haaretz rapporte même que des personnalités turques proches d’Erdogan parlent des preuves que Wikileaks est une opération soutenue par Israël. Selon les Turcs : « Israël est très heureux. Israël fait des déclarations depuis des jours, avant même la publication de ces documents [Wikileaks]. Des documents ont été rendus publics et ils ont immédiatement dit qu’Israël n’en souffrirait pas. Comment le savaient-ils ? »
Veterans Today rapporte qu’ils ont appris que les médias israéliens ont cité Bibi Netanyahu disant : « Assange parle avec nous et rien ne sera divulgué qui nous fera du mal », ajoute VT : « Wikileaks est une unité des services de renseignements israéliens… dès 2011, Julian Assange a admis que tout le matériel de Wikileaks avait été soumis à Israël avant d’être publié, avec une partie de l’édition et de la correction effectuées dans les bureaux du New York Times par le personnel du consulat d’Israël à New York. Nous en avons la confirmation sur place. “
L’enfance d’Assange en Australie est mêlée à une secte ‘controlled-mind’ liée à la CIA et qui abusait des enfants, appelée » La Famille « .
http://aanirfan.blogspot.com/2019/04/assange-false-flag.html
L’ÉPISODE DE LA BANQUE BAER
L’une des premières campagnes ‘Wikileaks’ de Julian Assange fut de porter un grand préjudice à la banque suisse Julius Baer (Julius Bär), datant des années 1800, la grande rivale de la Banque Rothschild en Suisse.
A 52 ans, le riche PDG de Julius Baer, Alex Widmer, a été trouvé « mystérieusement mort », prétendument un « suicide ». Assange a fourni des « fuites » au sujet de Julius Baer et de ses clients, affirmant qu’elle s’inquiétait de « l’évasion fiscale », faisant peur aux clients de la banque et faisant finalement chuter la valeur de l’action de la banque de 60%.
Julius Baer s’est rendu devant les tribunaux aux Etats-Unis, où Wikileaks était hébergé, pour empêcher Wikileaks de révéler les données de ses clients… Le cabinet d’avocats Fox Rothschild a représenté Wikileaks, a gagné, et a retourné les saletés de Wikileaks contre la banque rivale de Rothschild, lui causant des dommages durables.
Un autre avocat de Julian Assange a été Mark Stephens de Finers Stephens Innocent, conseiller juridique de Rothschild Waddesdon Trust.
La personne qui a payé la caution d’Assange est la socialiste britannique Jemima Khan née Goldsmith (Goldschmidt), belle-sœur des Rothschild, son frère Ben épouse Kate Rothschild, son père James Goldsmith, cousin des Rothschild.
Le magazine ‘The Economist’ , soutenu et supervisé par les Rothschild, a présenté Julian comme un grand ‘héros’ pour ses fuites sur la banque suisse qui ont aidé la banque Rothschild à vaincre sa concurrente.
Le site d’information britannique The Guardian, principal promoteur d’Assange à ses débuts, a été supervisé par Paul Myners de Rothschild Ltd & Sons, et Anthony Salz de la banque d’investissement Rothschild, sous la direction du Scott Trust.
Assange a séjourné au manoir de campagne de Vaughan Smith, propriétaire de l’organisation de médias Frontline Trust, où Assange a été un conférencier, ‘Frontline’ financé par George Soros … Soros est partenaire de Goldsmith, cousin de Rothschild, et Richard Katz de Rothschild & Sons a été le directeur de l’Open Society Institute de Soros, avec d’autres employés de la banque Rothschild siégeant également au conseil de Soros.
Glen Greenwald, le pompier d’Edward Snowden, a également été un employé de la famille Rothschild, engagé après qu’ils ont compris qu’il était trop ridicule de vendre Snowden via le journaliste du Washington Post à qui Snowden a d’abord « fuité » Bart Gellman, qui est le biographe et ami du vice-président et belligérant américain Dick Cheney… Greenwald est financé par le milliardaire de la CIA-Ukraine, Pierre Omidyar.
Remarquez qu’en dépit de l’accusation criminelle fédérale américaine, il n’y a pas de saisie des fonds de Wikileaks, etc. ses produits n’ont pas été déplateformés – Wikileaks a réussi à obtenir des dons même aujourd’hui… alors que de nombreuses autres personnes ont été déplateformées, interdites, empêchées de collecter des fonds, etc. pour une opinion légèrement dissidente, sans même une accusation criminelle.
A 82 ans, Zbigniew Brzezinski, conseiller de longue date de la CIA aux Etats-Unis, a admis le 29 novembre 2010 à la télévision américaine, le PBS News Hour, que Wikileaks avait été clairement semé et sélectionné par une agence internationale.
A part le matériel de Wikileaks sur les pays ciblés par l’OTAN ou Israël – comme le matériel d’encouragement pour le « Printemps arabe » -, les » Wikileaks » concernant les États-Unis n’étaient « rien de dramatiquement nouveau » (torture étrangère américaine, etc.) ; du matériel « dossier de contrôle » (Hillary-bashing, pour la faire marcher si elle gagnait l’élection) ; et globalement étaient conçus pour « attraper, identifier et détruire » les vrais dissidents qui ont été incités à entrer en contact avec Wikileaks.
Au moins deux personnes qui ont contacté Assange sont mortes – Seth Rich & Peter W. Smith. Assange fait semblant d’être « préoccupé » par le premier ; il nie avoir reçu les dossiers du second. D’autres sont emprisonnés.
Alors qu’ils prétendent craindre l’extradition, Assange et Snowden, comme de bons actifs de la CIA, refusent d’utiliser les dossiers dévastateurs sur la corruption d’un juge fédéral américain en Virginie qui ont empêché d’autres extraditions, même si ces juges sont exactement ceux qui auraient fait passer Assange et Snowden en jugement. Tout cela n’est qu’une escroquerie avec ces « faux héros », et les satanistes s’en moquent bien.
POURQUOI L’ARRESTATION MAINTENANT ?
Pourquoi Assange a-t-il été « arrêté » maintenant ? L’histoire des « sept années passées dans une minuscule pièce de l’ambassade d’Equateur à Londres » devenait de toute évidence de plus en plus longue et difficile à croire à mesure qu’elle se prolongeait. Assange et Snowden sont des créations de la CIA d’Obama, et peu après l’arrivée au pouvoir de Trump, des mesures ont été prises pour mettre fin au canular Assange, et la Suède a même abandonné début 2017 ses « accusations de viol » douteuses contre Assange. Le moment a été choisi pour détourner l’attention de la débâcle britannique du Brexit, qui déchire actuellement la société britannique avec la trahison des 17 millions d’électeurs britanniques qui ont voté pour le Brexit.
Il y a aussi le fait que le travail en cours d’un prétendu « héros dissident », avec une « personnalité » populaire, détourne l’attention de bien des choses, comme le dernier attentat à la bombe d’Israël en Syrie ou à Gaza. Chaque semaine, pendant un certain temps, il se peut qu’il y ait de nouvelles « histoires d’Assange » qui tournent en boucle.
Il se peut que nous ayons pendant des mois, voire des années, le titre d’information « Du nouveau sur Assange », qui pourrait se terminer par une fausse « victoire populaire » pour Assange, ou peut-être même un faux « procès » et un faux « emprisonnement », comme on soupçonne qu’ils se produisent pour certains de ces prétendus « loups solitaires » qui nous sont présentés dans diverses « tueries » douteuses.
LE LIEN ASSANGE-ROTHSCHILD
Quelle est la base du lien profond entre Julian Assange et les Rothschild ? Les Rothschild, avec leur fortune estimée à 400 milliards (au moins) et leur passion pour Israël, portent naturellement un grand intérêt au contrôle des médias, jouant un rôle direct au sein de conseils d’administration supervisant les principaux médias mondiaux tels que les britanniques The Guardian et The Economist.
Mais pour vraiment contrôler les médias, il faut aussi contrôler les médias “d’opposition” et canaliser les énergies des dissidents potentiels. A l’époque d’Obama, il a été décidé de donner au monde deux faux “héros dissidents”, gonflés par Rothschild et les médias partenaires de la CIA, qui pourraient tromper le monde entier. Ces deux faux dissidents, Julian Assange et Edward Snowden, ont peut-être dépassé les attentes quant à la façon dont ils ont dupé le public, malgré leurs liens évidents avec Rothschild et la CIA, et malgré des signes évidents de troubles comme le fait d’être bienveillants envers Israël et de s’opposer agressivement à la recherche de la vérité sur le 11 septembre.
Assange et Snowden ont fourni de nombreux avantages secondaires à la cabale mondiale du Nouvel Ordre Mondial, tels que la délégitimation des vrais dissidents, avec beaucoup de gens qui disaient des choses comme : » Eh bien, si c’était vrai, Assange et Snowden, et leurs médias « courageux », ne nous en auraient-ils pas parlé ? » Ce qui est tragique, c’est de savoir combien de dissidents ont été écrasés et réduits au silence, voire tués, après avoir été attirés dans le « piège à rats » de Snowden et d’Assange et de leurs médias ».
Brabantian, henrymakow.com, le 14 avril 2019
Traduction Olivier Demeulenaere (avec DeepL.com)
Rappels :
Julian Assange et Wikileaks sont-ils réellement ce qu’ils prétendent être ?
Wikileaks promet une années 2017 « à couper le souffle »… Mais qui est derrière ?
Les sanglots longs des violons de l’automne bercent mon coeur d’une langueur monotone…
Eh bien Paul (Verlaine) c’est fini, il faut maintenant faire un virage à 180°…
Jean LENOIR
Merci OD, on se sent moins seuls.
VT a argumenté, pendant des années, qu’Assange ne résidait pas à l’Ambassade d’Équateur.
Qu’il s’y rendait sur « convocation » pour faire des coups médiatiques.
Après investigations, on a pu percer le « mystère » du livre que tenait Assange ► https://jbl1960blog.wordpress.com/2019/04/13/arrestation-de-julian-assange-coup-monte-ou-bien/
Au moment de son « arrestation », car faut dire qu’on était pas les seuls à trouver tout ça très très chelou !
Des cerveaux malades capables d’organiser le 11/09, peuvent bien tout se permettre.
Enfin, le croire au moins.
Maintenant, il est clair qu’il fallait, publiquement, « récupérer » Assange, 7 ans de réflexion, quand même…
=*=
Sur le front « refuser les compteurs communicants, la 5G et donc les Smart-cities, cette petite publication avec une preuve supplémentaire qu’ENGIE/GAZPAR tout comme ENEDIS/LINKY ne sont pas nos amis ► https://jbl1960blog.wordpress.com/2019/04/14/le-meilleur-conseil-dengie-en-cas-de-problemes-graves-fuyez/ Car sur ce plan là, aussi, l’enfumage est à tous les étages…
Jo
Tout n’est plus que théâtre et comédie, malheureusement… pour nous faire avaler la mise en place (bien réelle) de leur NOM.
Ping : L’arrestation de Julian Assange n’est que du théâtre | Boycott
Une fois de plus on assiste à une manipulation du « bon peuple » !….Dans l’art de la manipulation le « Système » est très très fort !….Encore aujourd’hui quand je dis à certaines personnes que l’attentat du 11 septembre est un coup monté et que les israéliens sont dans le coup (voir entre autre l’étude de L. Guyénot ), certains me disent que je suis un affabulateur voire un complotiste (le mot à la mode pour discréditer toute personne au « cerveau malade » selon la formule devenue célèbre de P. Cohen ! ). Pour certains qui ne sont pas totalement bornés, je leur donne des coordonnées sérieuses à consulter sur Internet et quand je les revoie, ils sont tout penauds d’avoir conscience de s’être fait manipuler !
On est bien d’accord : les cerveaux malades, ou faibles dirons-nous, ne sont pas ceux que l’on qualifie de « complotistes », mais bien plutôt l’apanage des gens qui n’ont que ce mot creux à la bouche.
Combien de ceux avec qui l’on essaie d’aborder sérieusement les sujets sensibles refusent tout simplement d’en discuter… par peur panique d’entrer en « dissonance cognitive » ! (voir ici)
Il faut être psychologiquement solide pour accepter de remettre en question tout le socle de croyances qui vous ont été inculquées par l’école, les médias et la vie en société.
Quand je parle de mon ancien métier, en préambule, je dis toujours : « je sais que je ne sais rien ». Ensuite je dis ce que je sais. Tout un tas de constructions, d’explications peuvent être faites, qui ne sont pas forcément contradictoires. Avec le temps, on finit par approcher d’une explication assez valable. Pendant ce temps, vos chefs s’énervent….
Personnellement, après des années à essayer d’ouvrir les yeux sur l’envers de la « Matrice » ; à militer pour une prise de conscience ou à publier des analyses allant à l’encontre du système (arguments à l’appui), j’ai préféré arrêter.
Je viens encore d’être censurée sur Facedebouc d’ailleurs ! 🙂
Ce n’est pas à travers les réseaux sociaux, qui sont des outils de flicage et de surveillance avérés, que l’on va réveiller les masses.
Les gens s’en foutent – pour la grande majorité -. Les plus éclairés ou brillants sont :
– Soit compromis ou vendus et jouent le jeu de la finance apatride sans état d’âme.
– Soit hors système et donc dans la précarité.
Ce système Oligarchique vit ses dernières heures avant l’implantation artificielle du National Sionisme (RN infiltré par la Franc-maçonnerie et pieds et poings liés par Israël).
Ce qui va accélérer le calendrier du N.O.M. à vitesse grand V !
Macron n’est qu’un fusible et il le sait parfaitement bien car il fait partie des Ur-Lodges.
Reste à se préparer spirituellement, humainement et matériellement à ce qui nous attend, pour ceux qui le peuvent encore. ^^
Bienvenue au Club Élise !
C’est exactement une préparation spirituelle qui est primordiale. Notre ennemi est le Talmud, le mensonge, la fraude, le crime, tous ces parvenus mentalement attardés ridicules avec leurs petits tabliers des loges qui vénèrent lucifer… sans le savoir.
« Ne les croyez pas, ne les craignez pas, n’attendez rien d’eux. »
Soljenitsyne.
« Ce système Oligarchique vit ses dernières heures avant l’implantation artificielle du National Sionisme »…
C’est l’implantation d’autre chose qui nous attend si nous croyons que le National-sionisme est la dernière marche de la descente dans l’enfumage universel :
Video 127: WHAT WILL HAPPEN TO HUMANS WHEN AI TAKES OVER EVERYTHING ? Wes Penre
(AI = Intelligence Artificielle)
» Les gens s’en foutent pour la grande majorité » dîtes-vous. Totalement juste… Ou ils sont désinformés depuis des années, ou ils ont du mal à « remplir le frigo » ce qui ne les encourage pas – paradoxalement – à s’interroger sur le système. Encore que le mouvement des GJ ( les « historiques » ) atteste d’une prise de conscience…
Vous êtes tous ici des cerveaux malades…et déviants…
Moi aussi j’ai longtemps dévié…
Mais cet excellent article m’a permis de redresser mon esprit tordu…
https://paris-luttes.info/comment-les-intox-sur-rothschild-11974
Je vous encourage à faire de même…
Et j’en profite pour présenter mes plus plates excuses à la sainte famille Rothschild…
D’avoir à un moment dévié et d’avoir écrit tellement d’horreurs à leur encontre…
Ce sont des bienfaiteurs de l’humanité…
Qu’il est bon d’être redressé… Je me sens mieux…
Que la vie est belle et que le monde est beau… ✡️😍✡️
Ce film de l’excellent Yvan Attal vous aidera également…
Peace and love….
Citations des principales personnalités historiques sionistes, exprimant sans masque, leur programme de génocide des Palestiniens
« Nous devons expulser les arabes et prendre leur place »
David Ben Gurion 1937, futur premier ministre d’Israël
« Nous devons tuer tous les palestiniens à moins qu’ils ne soient résignés à vivre en tant qu’esclaves »
Président Heilbrun, du comité pour la réélection du général Shlomo Lehat, maire de Tel-Aviv, octobre 1987
« Nous devons utiliser la terreur, les assassinats, l’intimidation, la confiscation des terres et l’arrêt de tous les programmes sociaux afin de débarrasser la Galilée de sa population arabe »
Israël Koenig, « The Koenig memorandum »
« La seule solution est Eretz Israel (Grand Israël), ou au moins Eretz Israel Ouest (toutes les terres à l’ouest du Jourdain), sans les arabes. Il n’y a pas de place pour un compromis sur ce point. Nous ne devons pas laisser un seul village, pas une seule tribu »
Joseph Weitz, directeur du Fond national juif, 1973
« Une terre sans peuple avec un peuple sans terre »
Israel Zangwill (propagandiste sioniste), il y a environ cent ans
« A l’étranger nous sommes habitués à croire qu’Israël est presque vide ; que rien n’y pousse et celui qui veut acheter de la terre peut aller là-bas acheter les terres qu’il désire. En réalité, la situation n’est pas ainsi. Dans ce pays, il est difficile de trouver une terre cultivable qui ne soit déjà cultivée »
Commentaire de l’essayiste hébreu Achad Ha-Am, après avoir visité la Palestine en 1891
« Comment pourrions-nous rendre les territoires occupés ? Il n’y a personne à qui les rendre »
Golda Meir, premier ministre d’Israël, 8 mars 1969
« Il n’y a jamais rien eu de tel puisque les palestiniens n’ont jamais existé »
Golda Meir, premier ministre israélien, 15 juin 1969
« Les palestiniens » seront écrasés comme des sauterelles … leurs têtes éclatés contre les rochers et les murs »
Yitzhak Shamir, premier ministre israélien, 1er avril 1988
« Le sang juif et le sang des « goys » (non-juifs) ne sont pas les mêmes »
Le rabbin israélien Yitzhak Ginsburg, concluant que tuer n’est pas un crime si les victimes ne sont pas juives. Jerusalem Post, 19 juin 1989
« Chasser la population pauvre (les arabes) au-delà de la frontière en lui refusant du travail. Le processus d’expropriation et de déplacement des pauvres doit être mené discrètement et avec circonspection »
Théodore Herzl, fondateur de l’Organisation sioniste mondiale, note du 12 juin 1895
Description par Rabin de la conquête de Lydda, après l’achèvement du plan Dalet. « Nous réduirons la population arabe à une communauté de coupeurs de bois et de serveurs ».
Uri Lubrani, conseiller spécial aux Affaires arabes de Ben Gurion, 1960, tiré de « The Arabs in Israel » par Sabri Jiryias
« Les palestiniens sont comme les crocodiles, plus vous leur donnez de viande, plus ils en veulent … »
Ehud Barak, premier ministre israélien, 28 août 2000, Jerusalem post du 30 août 2000
« Les palestiniens sont des bêtes qui marchent sur deux jambes »
Menahem Begin, discours à la Knesset, cité dans Amnon Kapeliouk, « Begin and the beast » «(Begin et les bêtes), New Statesman, 25 juin 1982
« Il y a une énorme différence entre nous (les juifs), et nos ennemis. Pas seulement dans la capacité, mais dans la morale, la culture, le caractère sacré de la vie et la conscience. Ils sont nos voisins ici, mais c’est comme si à quelques centaines de mètres, il y avait un peuple qui n’appartenait pas à notre continent, à notre monde, qui appartenait véritablement à une autre galaxie »
Président israélien Moshe Katsav, Jerusalem Post, 10 mai 2001
« Nous devons tout faire pour nous assurer qu’ils (les palestiniens) ne reviennent pas » … « Les vieux mourront et les jeunes oublieront »
David Ben Gurion, journal du 18 juillet 1948
« Lorsque nous aurons colonisé le pays, il ne restera plus aux arabes que de tourner en rond comme des cafards drogués dans une bouteille »
Raphael Eitan, chef d’Etat major des forces de défense israéliennes (Tsahal), New york Times, 14 avril 1983
« La thèse d’un danger d’un génocide qui nous menaçait en juin 67 et qu’Israêl se battait pour son existence physique était seulement du bluff, créé et développé après la guerre »
Général Matityaha Pelet, Ha’aretz, 19 mars 1972
« C’est le devoir des leaders israéliens d’expliquer à l’opinion publique, clairement et courageusement, un certain nombre de faits qui ont été oubliés avec le temps. Le premier de ces faits, c’est qu’il n’y a pas de sionisme, de colonisation ou d’Etat juif, sans l’éviction des arabes et l’expropriation de leurs terres »
Yoram Bar Poreht, Yediot Aahronot, 12 juillet 1972
« La population doit se préparer à la guerre, mais il revient à l’armée israélienne de poursuivre le combat avec l’objectif ultime qui est la création de l’Empire israélien »
Moshe Dayan, ministre israélien de la défense et des affaires étrangères, 12 février 1952 Radio Israel
« Des villages juifs ont été construits à la place des villages arabes. Vous ne connaissez pas le nom de ces villages et je ne vous le reproche pas, car les livres de géographie n’existent plus. Et non seulement les livres, mais les villages n’existent plus. Nahahal a remplacé Mahahul, le Kibbutz Gevat a remplacé Jubta, le Kibbutz Sarid a remplacé Hanifas et Kafr Yehoushua celle de tel Shaman. Il n’y a pas un seul endroit dans ce pays qui n’a pas une ancienne population arabe »
Moshe Dayan, discours au Technion, Haifa, repris dans Ha’aretz, 4 avril 1969
« … si les gens s’habituent à cette donnée et que nous soyons réellement obligés d’accepter le retour des réfugiés, il pourrait être difficile pour nous, quand nous seront confrontés à des hordes de plaignants, de convaincre le monde qu’ils ne vivaient pas tous sur le territoire israélien. Quoi qu’il arrive, il serait souhaitable de réduire au minimum leur nombre … sinon »
Arthur Lourie, responsable israélien, dans une lettre à Walter Eytan, directeur général du ministère des affaires étrangères israélien (ISA FM 2564/22). D’après Benny Morris, « Naissance du problème des réfugiés palestiniens 1947-49 », p. 297
« Une réconciliation volontaire avec les arabes est hors de question, que ce soit maintenant ou dans le futur. Si vous souhaitez coloniser un pays dans lequel une population vit déjà, vous devez fournir une armée pour le pays ou trouver quelque riche personne ou bienfaiteur qui vous la fournirait. Sinon, abandonnez la colonisation, parce que sans une force armée, qui rendrait physiquement impossible toute tentative de détruire ou d’empêcher cette colonisation, la colonisation sera impossible, pas difficile, pas dangereuse, mais IMPOSSIBLE. Le sionisme est une aventure de colonisation et c’est pour cela qu’elle est dépendante d’une force armée. Il est important … de parler hébreu, mais malheureusement, il est encore plus important d’être capable de tirer, ou bien je termine le jeu de la colonisation »
Vladimir Jabotinsky, fondateur du sionisme révisioniste (précurseur du likoud), Le Mur de fer, 1923
« La colonisation sioniste doit être exécutée contre la volonté de la population autochtone. C’est pourquoi cette colonisation doit continuer seulement sous la protection d’une puissance indépendante de la population locale, tel un mur de fer capable de résister à la pression de la population locale. Ceci est notre politique à l’égard des arabes »
Vladimir Jabotinsky, Le Mur de fer, 1923
« Entre nous soit dit, il doit être clair qu’il n’y a pas de place pour deux peuples dans ce pays. Nous n’atteindrons pas notre but si les arabes sont dans ce pays. Il n’y a pas d’autres possibilités que de transférer les arabes d’ici vers les pays voisins – tous. Pas un seul village, pas une seule tribu ne doit rester
Joseph Weitz, chef du département colonisation de l’Agence juive en 1940, tiré de « A solution to the refugee problem »
« Israël aurait dû exploiter la répression des manifestations en Chine lorsque l’attention du monde s’est focalisée sur ce pays, pour mettre à exécution des expulsions massives parmi les arabes des territoires »
Benyamin Netanyahu, alors député israélien au ministère des affaires étrangères, ancien premier ministre d’Israël, s’exprimant devant des étudiants à l’université de Bar Ilan, tiré du journal israélien « Hotam », du 24 novembre 1989
« A-t-on vu un seul peuple abandonner son territoire de sa propre volonté ? De la même façon, les arabes de Palestine n’abandonneront pas leur souveraineté sans l’usage de la violence »
Vladimir Jabotinsky (fondateur et partisan des organisations terroristes sionistes), cité par Maxime Rodinson dans « Peuple juif ou problème juif » (Jewish people or jewish problem)
« Si j’étais un leader arabe, je ne signerais jamais un accord avec Israël. C’est normal, nous avons pris leur pays. C’est vrai que Dieu nous l’a promis, mais en quoi cela les concerne ? Notre dieu n’est pas le leur. Il y a eu l’antisémitisme, les nazis, Hitler, Auschwitz, mais était-ce de leur faute ? Ils ne voient qu’une seule chose : nous avons volé leur pays. Pourquoi devraient-ils l’accepter ? »
David Ben Gurion, le premier ministre israélien, cité par Nahum Goldman dans le paradoxe juif, p. 121.
« Nous déclarons ouvertement que les arabes n’ont aucun droit de s’établir sur ne serait-ce un seul centimètre du Grand Israël … La force est l’unique chose qu’ils comprennent. Nous devons utiliser la force absolue jusqu’à ce que les palestiniens viennent ramper devant nous »
Raphael Eitan, chef d’Etat-major des forces de la défense israéliennes. Gad Becker, Yediot Aharonot, 13 avril 1983, New York Times, le 14 avril 1983
« Si l’assemblée générale devait voter par 121 voix contre une le retour aux frontières de l’armistice (frontière d’avant juin 1967), Israël refuserait de se plier à cette décision »
Aba Aban, ministre israélien des affaires étrangères. New York Times, 9 juin 1967
« Chaque fois que nous faisons quelque chose, vous me dites que l’Amérique fera ceci ou fera cela … Je vais vous dire quelque chose de très clair : Ne vous préoccupez pas de la pression de l’Amérique sur Israël, nous, les juifs, contrôlons l’Amérique, et les américains le savent »
Le premier ministre israélien Ariel Sharon, 3 octobre 2001, à Shimon Péres, cité sur la radio Kol Yisrael
« Parmi les phénomène politiques les plus inquiétants de notre temps, il y a l’émergence, dans l’Etat nouvellement créé d’Israël, d’un parti de la Liberté (Herut), un parti politique très proche, dans son organisation, ses méthodes, sa philosophie politique et son appel social, des nazis et des partis fascistes. Begin et Yitzhak Shamir qui étaient membres de ce parti sont devenus premiers ministres »
Albert Einstein. Hana Arendt et d’autres juifs américains célèbres, ont écrit dans le New York Times, pour protester contre la visite en Amérique de Begin, en décembre 1948.
« La carte actuelle de la Palestine a été dessinée sous le mandat britannique. Le peuple juif possède une autre carte que les jeunes et les adultes doivent s’efforcer de mener à bien : celle du Nil à l’Euphrate »
Ben Gurion
« Nous devons affronter la réalité qu’Israël n’est ni innocent, ni rédempteur. Et que lors de sa création et de son expansion, nous les juifs avons créé ce dont nous avons souffert historiquement : une population de réfugiés dans une diaspora »
Martin Buber, philosophe juif, s’adressant au premier ministre Ben Gurion, sur le caractère moral de l’Etat d’Israël en faisant référence aux réfugiés arabes en mars 1949.
« Quand nous (disciples du judaïsme prophétique) nous sommes retournés en Palestine … la majorité des juifs, ont préféré apprendre d’Hitler plutôt que de nous »
Martin Buber, au public de New York. Jewish Newletter, 2 juin 1958
« Le pouvoir légal d’Hitler était basé sur le « décret de loi », qui était voté tout à fait légalement par le Reichstag et qui permettait au Führer et à ses représentants, en langage simple, de faire ce qu’ils voulaient, ou en langage juridique, de publier des décrets ayant pouvoir de loi. Exactement le même type de loi votée par la Knesset (le parlement israélien) juste après la conquête de 1967, accordant au gouvernement israélien, et à ses représentants le pouvoir d’Hitler, qu’ils utilisent de façon hitlérienne »
Docteur Israel Shahak, président de la Ligue israélienne pour les droits de l’homme et les droits civiques, survivant du camp de concentration de Bergen Belsen, commentant les lois d’urgence de l’armée israélienne suite à la guerre de 1967. Palestine, vol. 12, décembre 1983
« Nous sommes sortis, accompagnés par Ben Gurion. Allon a répété sa question : « Que devons-nous faire avec la population palestinienne ? » Ben Gurion a levé sa main dans un geste qui voulait dire : « Chassez-les » »
Yitzhak Rabin, version censurée des mémoires de Rabin, publiées dans le New York times, 23 octobre 1979.
https://reseauinternational.net/citations-des-principales-personnalites-historiques-sionistes-exprimant-sans-masque-leur-programme-de-genocide-des-palestiniens/
Cela s’applique à tous les goyim, donc aux chrétiens d’Europe.
NB
Ces citations sont censurées sur Sputnik.
Serait-ce des propos antisémites tenus par de hauts responsables d’Israël ?
Si vous pouviez avoir la gentillesse d’arrêter de retranscrire et diffuser ces informations Alcide…
Je venais tout juste d’être redressé…
Article du Monde Diplomatique :
Il y a quarante ans, la guerre des six jours
MÊME DE GAULLE ÉTAIT ISOLÉ…
par Alexis Berg et Dominique Vidal, juin 2007
« Les Egyptiens attaquent Israël », titre France-Soir ce 5 juin 1967. En fait, à l’heure où le quotidien sort sa première édition, c’est Israël qui a pris l’initiative, détruisant au sol l’aviation égyptienne. Ainsi commence une « guerre préemptive » (lire « Empire, stratèges et conflits ») au terme de laquelle ISRAËL AURA QUADRUPLÉ SON TERRITOIRE, occupant la Cisjordanie, Jérusalem-Est, le Sinaï et le Golan. LE MENSONGE EST SI GROS que, pour sa seconde édition, le journal de Pierre Lazareff rectifie – si l’on ose dire – le tir : « C’est la guerre au Moyen-Orient », affiche désormais sa « une ».
Caricatural, cet exemple symbolise l’attitude de l’essentiel de la radiotélévision et de la presse face à la guerre des six jours : plusieurs mois durant, la fin – la défense d’Israël – a justifié les moyens – jusqu’aux manipulations les plus flagrantes…
Dans les mois qui précèdent le conflit, LES MÉDIAS ONT PRÉSENTÉ LES DÉCISIONS DU PRÉSIDENT ÉGYPTIEN GAMAL ABDEL NASSER (lire « Erreurs tactiques, choc de stratégies ») COMME UNE TENTATIVE D’ANNIHILATION DE L’ETAT JUIF.
Même Le Canard enchaîné s’est laissé aller : le 31 mai, sous le titre « Vers la solution finale du problème d’Israël », il écrit que « le Raïs (nom égyptien du Führer) déclare solennellement, devant les représentants de la presse mondiale, que si Israël bouge seulement le petit doigt, il sera procédé à sa destruction totale, sans préciser toutefois par quels moyens (fours crématoires ? chambres à gaz ?) ».
A l’heure de l’offensive israélienne, on l’a vu, C’EST LE MONDE ARABE QUE LES JOURNALISTES ACCUSENT D’AGRESSION. Le 6 juin, le quotidien socialiste Le Populaire titre encore : « Attaqué de toutes parts, Israël résiste victorieusement ». Et, à l’issue du conflit, cette posture prétendument défensive justifiera les conquêtes de l’armée de Tel-Aviv. Combat [nom d’un journal, ndlr] célèbre, le 8 juin, « Le fantastique bilan de l’armée d’Israël ». Le même jour, dans Le Figaro, Yves Cuau écrit : « Il semble bien ce soir que la victoire de l’armée de David soit l’une des plus grandes de tous les temps et que jamais dictateur n’ait reçu si vite une pareille “volée”. »
CETTE MANIPULATION N’EST PAS SANS EFFET SUR L’OPINION, dont la mobilisation en faveur de la politique d’Israël va croissant tout au long de la crise et de la guerre. DES MILLIERS DE MANIFESTANTS DÉFILENT À PARIS et dans de nombreuses villes, avec, au premier rang, la classe politique au grand complet (sauf le Parti communiste français [PCF] et l’extrême gauche). « 50 000 “fans” au super show d’Israël », se réjouit Paris-Jour le 1er juin, insistant sur la présence de Johnny Hallyday, tandis que L’Aurore annonce : « Impressionnantes manifestations en faveur de LA NATION MENACÉE ».
Publié en pleine page par la quasi-totalité des quotidiens, l’appel du COMITÉ DE SOLIDARITÉ FRANÇAISE AVEC ISRAËL rassemble des centaines de signatures – Serge Gainsbourg, Juliette Gréco, Yves Montand, Simone Signoret et Michel Piccoli côtoient Raymond Aron, Michel Droit, Maurice Druon, Valéry Giscard d’Estaing et François Mitterrand. Une autre pétition, lancée par Jean-Paul Sartre et Simone de Beauvoir, et qui rassemble essentiellement des intellectuels et des artistes de gauche, remporte aussi un grand succès.
Dans Le Monde, le 14 juin, le professeur Maurice Duverger observe : « L’ENTHOUSIASME D’UNE GRANDE PARTIE DES FRANÇAIS POUR LA CAUSE ISRAÉLIENNE MET LE PCF EN SITUATION DIFFICILE, même à l’égard de ses propres partisans. »
Le président de la République lui-même a du mal à se faire entendre : « L’Etat qui le premier emploierait les armes n’aurait ni l’approbation ni, à plus forte raison, l’appui de la France », a déclaré le général de Gaulle au conseil des ministres du 2 juin. Logiquement, dès que le conflit éclate, il annonce un embargo sur toutes les armes à l’encontre de tous les belligérants. Quelques mois plus tard, dans une conférence de presse – dont on n’a retenu que la phrase controversée présentant les Juifs comme « UN PEUPLE SÛR DE LUI ET DOMINATEUR» –, il ajoutera qu’ISRAËL « ORGANISE, SUR LES TERRITOIRES QU’IL A PRIS, L’OCCUPATION QUI NE PEUT ALLER SANS OPPRESSION, RÉPRESSION, EXPULSIONS ; ET IL S’Y MANIFESTE CONTRE LUI UNE RÉSISTANCE QU’À SON TOUR IL QUALIFIE DE TERRORISME ».
Avec le recul, cette analyse a des allures de prophétie. Mais, à l’époque, elle choque.
Jusqu’au Nouvel Observateur, qui, le 7 juin, titre « Pourquoi de Gaulle a lâché Israël » et explique : « La France gaulliste n’a pas d’amis, elle n’a que des intérêts. » Il faut dire que LE CHOIX DU GÉNÉRAL ROMPT AVEC DEUX DÉCENNIES DE SOUTIEN INCONDITIONNEL AUX DIRIGEANTS D’ISRAËL, que la France a permis de se doter de la bombe A, puis H.
Chez les uns, il se heurte au sentiment – légitime – de culpabilité engendré par le souvenir de la participation active de Vichy au génocide. Chez d’autres, il gâche la joie de la revanche sur « les Arabes » qu’Israël offre aux nostalgiques de l’Algérie française.
Il faudra l’invasion du Liban et les massacres de Sabra et Chatila en 1982, puis l’Intifada des pierres à partir de 1987, pour que les Français prennent nettement leurs distances avec Israël et appellent de leurs vœux la création, à ses côtés, d’un Etat palestinien indépendant avec Jérusalem-Est pour capitale. L’Elysée les aura précédés, les successeurs du général de Gaulle – de Georges Pompidou à M. Jacques Chirac – ayant fait leur sa politique proche-orientale. En ira-t-il de même avec M. Nicolas Sarkozy ?
Dans les médias de 1967, à la seule exception de la presse communiste et d’extrême gauche et de Témoignage chrétien, un mot frappe par son absence : « PALESTINIEN ». DES PRINCIPALES VICTIMES DE CETTE GUERRE, QUI COMPLÈTE LA NAKBA (« CATASTROPHE ») DE 1948, LA FRANCE NE SAIT RIEN, PAS MÊME LEUR NOM…
Alexis Berg
Dominique Vidal
Journaliste et historien, coauteur avec Alain Gresh de l’ouvrage Les 100 Clés du Proche-Orient, Fayard, Paris, 2011.
Miracles à Gaza : témoignage d’un soldat de Tsahal (Torah-Box)
Film documentaire : LA TERRE PARLE ARABE
de Maryse GARGOUR
Un document Humain sur la vie des Palestiniens en Palestine, qui se souviennent : « entre les arabes et les juifs, en ce temps là, il n’y avait aucune différence, nous vivions en paix »…
——Commentaire de Michel Collon:
http://www.michelcollon.info/La-Terre-parle-arabe.html
« La réalisatrice nous amène à remonter le temps avec des scènes surprenantes de l’ancienne et trépidante ville de Jérusalem, avec des images de pêcheurs naviguant aussi bien sur la mer que sur des lacs ou des rivières, de paysans occupés à travailler de riches terres agricoles, de bergers surveillant leurs troupeaux, de femmes vêtues de robes brodées balançant des jarres d’eau sur leur tête, d’hommes coiffés de turbans pressant des olives pour en faire de l’huile ou cuisant le pain arabe typique dans des fours en terre, d’une volée de cloches d’église, de croyants agenouillés pour la prière, de familles posant pour des photos de mariage ou de vacances. Ces scènes d’une vie idyllique en Terre sainte nous poursuivent alors que nous sommes renvoyés vers des temps plus tourmentés.
La lecture d’extraits de lettres échangées dans des langues européennes entre des EUROPÉENS SIONISTES et des EUROPÉENS IMPÉRIALISTES est suivie par des scènes reflétant les conséquences de LEURS CONCEPTS D’INGÉNIERIE SOCIALE. La progression du projet de COLONISATION est relatée sur la base d’articles tirés des journaux de la fin du 19e siècle et du début du 20e siècle. Si, comme on peut le constater dans certains documents comme des reportages et des lettres, les colons sionistes parlaient de colonisation, bien de leurs écrits et de leurs discours traduisaient L’IDÉE DE REMPLACER LA POPULATION LOCALE PAR LA NOUVELLE POPULATION VENUE D’EUROPE. S’expriment notamment à ce sujet Ahad Haam, Israel Zanguill, Yosef Weitz, Chaim Weitzman, Theodor Herzl et Ben Gurion.
Le film nous montre comment des organisations armées clandestines juives telles que la Haganah, l’Irgun, et le groupe Stern se sont spécialisées dans diverses formes de TERRORISME allant de l’attentat à la bombe dans des marchés jusqu’aux assassinats (y compris de fonctionnaires britanniques).
D’une voix calme et posée, l’historien Nur Masalha avance des faits et des chiffres précis pour nous guider à travers les dédales de l’histoire.
J’ai toujours été d’avis que le terme « documentaire » n’était pas approprié pour désigner ce type de films. Il arrive qu’un film non seulement nous informe sur la base de documents surprenants et nous fasse vivre une expérience mémorable, mais qu’il opère aussi en nous un changement fondamental, qu’il nous entraîne dans une profonde réflexion sur ce qui s’est produit et nous incite à agir.
Des réfugiés racontent, la voix empreinte de tristesse, comme la vie était facile avant 1948, lorsque les différentes religions cohabitaient sans heurts. Ils étaient de simples paysans ou de simples citadins, qui IGNORAIENT PRESQUE TOUT DES MACHINATIONS DU SIONISME ET DE L’IMPÉRIALISME, ET DES CONSPIRATIONS EN COURS POUR LES DÉPOUILLER DE LEURS TERRES et faire de leur pays un Etat juif.
Les titres des journaux locaux (sionistes juifs ou nationalistes arabes) en disent long : Les fonds affluent vers la Palestine, L’immigration sioniste augmente, Les Juifs s’opposent à toute limitation de l’immigration, Des milice juives s’entraînent, Promesse de récompense pour la capture de juifs recherchés, La presse arabe en grève, 59 arabes blessés dans un attentat à la bombe à Haifa, Le problème de la terre en Palestine, Pacte entre la Haganah et l’Irgun, Des armes pour les Juifs palestiniens.
Dans une interview, un résistant de 1948 explique pourquoi il a rejoint les combattants. « Nous avons vu qu’ils voulaient s’emparer de notre pays et nous chasser. Peu de fusils, peu de combattants, pas d’organisation ni d’expérience en matière de guerre, huit personnes rassemblant leur argent pour acheter un seul vieux fusil… » »
« Sur une image, on distingue une enseigne bilingue, qui affiche en anglais « Agence juive pour la Palestine » et en hébreu « Agence juive pour Israël », avant même que ce pays n’existe. LA SUPERCHERIE A TOUJOURS FAIT PARTIE DU PROGRAMME.
Le film aborde également le soulèvement de 1936 contre l’occupation britannique et la colonisation sioniste. Le mouvement sioniste propose d’y faire face en accélérant la colonisation et en transférant la population arabe hors de l’Etat juif prévu. Il conçoit ce projet d’ingénierie comme on prépare le drainage d’un marécage ou la déforestation d’une parcelle pour s’y installer. Les Britanniques instituent le bombardement de village, les châtiments collectifs, les pendaisons publiques, les expulsions, etc., des pratiques qu’adoptera plus tard l’armée israélienne face aux soulèvements palestiniens.
Malgré la multiplication des acquisitions et l’adoption d’autres méthodes, l’Agence juive ne peut acquérir que 3,5% du territoire palestinien. C’est finalement LA GUERRE qui LUI PERMET D’OBTENIR CE QU’ELLE VOULAIT VÉRITABLEMENT.
Ben Gurion déclare « nous appartenant ou ne nous appartenant pas sont des concepts qui ne valent qu’en temps de paix ; en temps de guerre, ils n’ont plus aucun sens ». Des réfugiés expliquent qu’ils ont fui parce que les forces sionistes prenaient intentionnellement pour cible des civils afin qu’ils s’en aillent. C’était souvent une question de vie ou de mort. Les forces sionistes disposaient déjà d’avions, de tanks, de blindés, d’artillerie lourde, alors que le peu de résistants palestiniens n’avaient que des pistolets à un coup datant pour la plupart de la période ottomane.
Si les habitants ne s’en allaient pas et ne se rendaient pas, les hommes étaient rassemblés et fusillés en groupe à la mitraillette. Un survivant raconte comment il est resté à faire le mort une journée entière, couché parmi les cadavres, le corps criblé de balles. Un autre explique avoir vu le cadavre d’une femme enceinte, le ventre ouvert, et celui de son bébé.
Les témoignages de personnes ayant survécu aux attentats à la bombe perpétrés par des ORGANISATIONS TERRORISTES JUIVES à l’hôtel King David et à l’hôtel Samiramis sont combinés avec des documents et des reportages d’actualités de l’époque.
Le film se termine sur le témoignage d’un vieil homme, autrefois habitant de Jérusalem, qui décrit les souffrances de l’exil et le mal du pays.
L’approche historique combinant images, documents, faits et chiffres donne l’impression que ces événements sont survenus hier. C’est un film puissant.
« La Terre parle arabe » croise le regard de l’historien et du cinéaste pour soulever une vérité brûlante, celle du nettoyage et de la spoliation de la terre palestinienne par les sionistes.
Fin XIXème le sionisme, mouvement politique( juif) minoritaire, apparaît sur la scène internationale. Son but est de créer un Etat pour les Juifs quelque part dans le monde. Ce choix se portera finalement sur la Palestine. Cependant cette terre palestinienne « parle arabe » et se trouve habitée par un peuple, les Palestiniens.
Pour mettre en avant leur projet, les leaders sionistes élaborent une solution bien avant la déclaration Balfour de 1917. Il s’agit de penser d’abord et d’organiser ensuite le transfert de la population locale palestinienne hors de sa terre. TOUS LES MOYENS seront utilisés pour cela et en particulier la force brutale. Ce projet, élaboré EN SECRET dans les premières années, sera progressivement mis en avant par ses leaders après la grande révolte palestinienne de 1936 au cours de laquelle toutes les formes d’oppositions à ce projet par les Palestiniens seront fortement réprimées par la puissance mandataire britannique. »
LE DOSSIER DU TERRORISME ISRAELIEN (2004) (en français sous l’anglais)
Retrace les réalités derrière les promesses de façade et résume les importants CARNETS DE MOSHE SHARETT : on voit comment un homme politique, même relativement conscient des conséquences, est capable de laisser un individu emmener progressivement tout son peuple à sa perte…
(ces informations étaient sur la page, supprimée entre-temps :
http://archive.org/stream/LeDossierDuTerrorismeIsralien/terris_djvu.txt)
——Extraits:
UNE CORRUPTION MORALE
« L’assassinat de Bernadotte souligna une des principales différences de politique à l’époque entre les USA et Israël, c’est-à-dire le sort des réfugiés palestiniens…
Stephen Green indique les preuves montrant que le gouvernement israélien lui-même fut directement implique dans l’assassinat….
LES CARNETS SHARETT
La biographie de Moshe Sharett indique qu’il fut chef du département politique de l’Agence juive (1933-48), premier Ministre des Affaires Étrangères d’Israël (1948-56), et son second Premier Ministre (1954- 55).
Le journal fut publié, en hébreu seulement, en 1979.
II aurait sans doute reçu peu d’attention hors d’Israël sans LIVIA ROKACH. Fille d’Israël Rokach, le ministre de l’intérieur dans le gouvernement du Premier Ministre Moshe Sharett, Livia Rokach partit ensuite pour Rome, ou elle s’identifia plus tard comme une « écrivaine italienne d’origine palestinienne ».
Au début des années 80, elle traduisit des extraits du journal de Sharett et les mit dans un livre intitule LE TERRORISME SACRÉ D’ISRAËL: Une étude basée sur le journal personnel de Moshe Sharett et sur d’autres documents…
Le gouvernement israélien comprenait qu’il lui fallait transformer le jeune État en une puissance régionale afin de CONQUÉRIR LE RESTE DE LA PALESTINE ET AUSSI DES TERRITOIRES DE SES VOISINS ARABES. Rokach déduit du Journal de Moshe Sharett que les directions politiques israéliennes ne crurent jamais sérieusement a une menace arabe sur l’existence d’Israël…
D’apres Rokach, » LE TERRORISME ET LA VIOLENCE DEVAIENT MAINTENANT ÊTRE GLORIFIES COMME LES NOUVELLES VALEURS MORALES… et MÊME SACRÉES, de la société israélienne « …
Sharett le » modéré » allait remplacer Ben Gourion pour que l’Ouest ne s’alarme pas des intentions d’Israël….
Le moment de la période sabbatique de Ben Gourion indique que déjà quatre ans après la guerre de 48-49, l’appareil sécuritaire se focalisait sur une STRATÉGIE DE DÉSTABILISATION RÉGIONALE. SON MODE OPÉRATOIRE ÉTAIT LA POLITIQUE MILITAIRE CONNUE SOUS LE FAUX NOM DE » REPRÉSAILLES « …
Stephen Green présente une vision encore plus cynique de hauts dirigeants israéliens qui débutèrent l’opération terroriste pour SABOTER les négociations en cours et en bonne voie entre le Premier Ministre Sharett et le président égyptien Gamal Abdel Nasser…
…un grand journaliste israélien prédit les pertes israéliennes qui seraient dues à un « assassinat ciblé « . Le 23 novembre 2001, les Israéliens assassinèrent Mahmud Abu Hunud, un haut dirigeant du Hamas. Deux jours plus tard, le journaliste israélien Alex Fishman, dans un article a la une, expliqua qu’avant l’assassinat de Hunud il existait un accord mutuel « secret » entre le Hamas et l’Autorité Palestinienne en vertu duquel « le Hamas éviterait dans le proche futur » les attentats suicide en Israël.
Comme l’écrivait Fishman: « Ceux qui ont décide de la liquidation d’Abu Hunud SAVAIENT D’AVANCE « que l’accord avec le Hamas serait » mis en miettes…
Mais les Israéliens ne donneraient PAS leur accord a une initiative américaine de pacte de sécurité parce que, comme Sharett l’écrivit:
« Nous n’avons pas besoin [a dit Dayan] d’un pacte de sécurité avec les USA…UN TEL PACTE NE SERAIT QU’UN OBSTACLE POUR NOUS….Le pacte de sécurité nous liera les mains et nous privera de la liberté d’action dont nous avons besoin dans les années à venir. Les ACTIONS DE REPRÉSAILLES que nous ne pourrions pas faire si nous étions lies par un pacte de sécurité sont notre lymphe vitale… ELLES NOUS PERMETTENT DE MAINTENIR UN NIVEAU DE TENSION ÉLEVÉ DANS NOTRE POPULATION ET DANS L’ARMÉE »
Sharett indique les implications des vues de Dayan avec ses propres mots dans ses notes du 26 mai 1955: « Et avant tout ESPÉRONS UNE NOUVELLE GUERRE avec les pays arabes, pour que nous puissions finalement nous débarrasser de nos problèmes et ACQUÉRIR NOTRE ESPACE »
Je ne sais pas si l’arrestation d’Assange a eu lieu pour faire diversion du report du Brexit et/ou d’autres événements qui ne doivent pas être mis sous les projecteurs.
C’est à mon avis le cas concernant l’installation d’ici cet été du système THAAD en Roumanie, qui ne va faire qu’augmenter les tensions entre l’UE-USA et la Russie. Quels médias français ont diffusé cette information qui concerne notamment tous les citoyens de l’UE ?
« USEUCOM déploie le système THAAD en Roumanie »
« STUTTGART, Allemagne – À la demande de l’OTAN, le secrétaire à la Défense déploiera cet été un système de défense de zone de défense à haute altitude (US) dans l’armée américaine en Roumanie afin de soutenir la défense antimissile balistique de l’OTAN.
https://www.eucom.mil/media-library/pressrelease/39562/useucom-deploys-thaad-system-to-romania
Le danger réside dans le fait qu’une simple reprogrammation transforme ces systèmes de défenses anti-missiles en systèmes d’attaque au sol qui peut être nucléaire de première frappe comme l’autorise la doctrine US.
Les Russes le savent et ont mis en garde les bâtards au pouvoir en EU qui se fichent de leur population qui sera immanquablement ciblée en représailles.
Mais à part ça, tout va très bien puisque rien de cela passe dans le journal tévé.
Mais le vrai danger réside surtout dans la phrase de Poutine :
« La rue m’a appris que lorsque le combat est inévitable, alors il faut frapper le premier. »
Ce n’est que mon impression, mais cela semble etre du mauvais boulot d’investigation en quete d’auto-satisfaction.
Oublions Assange. On procède par la négative pour établir du positif : parce que Wikileaks ne parle jamais de X alors X est en sous-main, X est Wikileaks !
Je suppose que Wikileaks est muet sur bien d’autres choses donc avec ce procédé il y en aurait pour tout le monde par ailleurs, non ?
Par ailleurs on note un faisceau de « concordances » relatif à X. Là cela peut tourner en rond entre l’oeuf et la poule.
Oublions le procédé ci-dessus, on collecte des éléments, des « pièces ». C’est bien, mais demandons-nous alors si ces pièces font parties du meme puzzle !
Bref, y a encore du boulot ; à moins de procéder à l’emporte-pièce…
Si vous possédiez quelques rudiments de logique vous concluriez aisément que ce que l’on cache révèle autant que ce que l’on dit.
Si Assange refuse d’ouvrir le 9/11, ce type n’est pas un lanceur d’alerte preux chevalier de l’information.
Simple.
@lucmars: Il semblerait que vous ayiez mal lu : ce n’est pas qu’Assange ne parle pas du 11/9, c’est qu’il NIE qu’il y ait un problème avec la version officielle. Il parle de FAUSSES théories du complot. Quant à X ou Y, vous avez mal lu il apparaît que les liens et les connivences d’action sont assez étayées.
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