PARADOXE : IL EST INCONSCIENT ET IL FAUDRAIT LE SÉDATER ?
Lundi soir 21 mai, il était acquis que Vincent Lambert allait être assassiné à petit feu en le laissant mourir de faim et de soif. Oh certes, pour ne pas voir les soubresauts possibles du corps torturé, et dans le doute sur ce qu’il peut ressentir même s’il ne manifeste rien, on allait le mettre en sédation.
« La sédation est la recherche, par des moyens médicamenteux, d’une perte de conscience », dit le ministère de la Santé. Son objectif est que « le patient ne soit pas conscient et ne souffre pas ».
Donc premier élément de doute, Vincent Lambert pourrait être conscient et souffrir malgré son encéphalogramme plat ?
Il faut croire que oui, puisqu’au sédatif inoculé au patient, on ajoute de la morphine, « au cas où il ressentirait de la douleur« .
En France, le sédatif généralement utilisé est du Midazolam. En Suisse, et j’en parle en connaissance de cause, c’est du natrium pentobarbital, un barbiturique, utilisé aussi en France pour les opérations longues, aux Etats-Unis c’est du thiopental…
En fait, on ne sait rien de l’inconscience des comateux
Pourquoi administrer des sédatifs à des gens dont on dit qu’ils ne ressentent plus rien ?
Parce qu’il y a un doute, après le retour à la vie de comateux en longue durée qui ont déclaré qu’ils entendaient et sentaient ce qui se disait autour d’eux.
D’ailleurs, les médecins sont très divisés : un collectif de médecins spécialisés dans le handicap considère, dans une tribune au « Monde », que l’arrêt imminent des soins prodigués à Vincent Lambert n’est pas justifié. « Vincent Lambert n’est pas en fin de vie. Il est en grave situation de handicap et n’a aucune assistance externe de fonction d’organe vital (poumons, cœur, reins). Il n’est pas capable d’amener les aliments à sa bouche et de les avaler, mais il les assimile normalement« .
Et aussi parce qu’il y a un doute après cette vidéo montrant que Vincent Lambert bouge ses paupières et pleure, même s’il ne peut parler ni faire des mouvements.
Et il est possible aussi qu’il ne s’agisse que de mouvements réflexe, mais on n’en sait rien.
S’il pleure, diront certains, c’est peut-être parce qu’il aurait voulu en finir avec la vie, et que ses parents venaient de lui dire qu’ils faisaient tout pour empêcher son assassinat légal ? C’est possible, mais la loi Léonetti dit aussi qu’abréger une vie condamnée ne peut se faire qu’avec l’accord formel de la victime. Ce qui n’est pas acquis dans le cas de V. Lambert.
Alors que la loi suisse exige que le demandeur de suicide signe lui même un document où il refuse une prolongation artificielle de sa vie, la loi Léonetti, tout en interdisant le suicide assisté, autorise les proches parents (l’épouse en l’occurrence) à demander un meurtre assisté !
En Suisse, le suicide assisté, très encadré, est prévu par la loi
En Suisse, pour un « suicide assisté », le demandeur qui sait sa mort inéluctable doit exprimer clairement sa demande devant deux médecins différents, puis deux psychiatres qui attestent par écrit à quelques jours d’intervalle qu’il a toute sa lucidité et ne subit aucune pression extérieure, familiale ou autre ; puis la veille de la date prévue, à nouveau à deux reprises le soir et le lendemain matin, il doit exprimer sa volonté de mourir à un médecin obligatoirement suisse, puis on l’informe que jusqu’à la dernière seconde il peut renoncer au suicide.
La loi exige la présence de deux témoins en dehors de la famille, d’un policier et d’un magistrat dans les deux heures précédant la mort et jusqu’à la mort.
J’ai assisté comme témoin au suicide assisté d’une personne atteinte de la maladie de Charcot en phase terminale. Il n’y a aucun remède connu pour cette maladie qui détruit le système nerveux, entraîne une paralysie générale à l’exception du cerveau qui reste lucide, et la mort ne peut être évitée avec des douleurs incroyables, « tout mon corps brûle« , qui nécessitent en permanence de fortes doses de morphine. C’est parce qu’elle refusait de se trouver pendant des semaines ou des années totalement paralysée, incapable de bouger, de parler, de déglutir et souffrant un véritable martyre, que cette personne avait demandé un suicide assisté.
Le médecin m’a prévenu après l’absorption du natrium pentobarbital, « elle ne sent plus rien et son cœur va s’arrêter dans quelques minutes, mais il est très probable qu’elle entende toujours jusqu’au dernier moment« .
Sous-entendu : « si vous avez envie de dire quelque chose, attendez le décès ».
Que ressent, qu’entend Vincent Lambert ? Personne n’en sait rien, mais si l’on en croit la vidéo ci-dessus, dont l’authenticité n’est pour le moment pas contestée, il ressent quelque chose. Peut-être rien, mais ce n’est pas certain.
C’est pourquoi l’humanité demanderait à ce qu’il soit toujours abreuvé et nourri pour rester en vie tant qu’il y a un espoir.
Ils parlent d’humanisme, mais manquent d’humanité
Il semble en effet que ce soit beaucoup demander :
- à des juristes dans leur bureau ;
- à des politiciens qui ont peur du débat que lancerait un projet de loi pour encadrer la fin de vie assistée ;
- à des médecins en surcharge qui calculent que mieux vaudrait laisser mourir des gens probablement voués à mourir prochainement, qui encombrent des chambres et occupent des infirmières, alors que des patients attendent des soins et des chambres aux urgences ;
- à une épouse qui n’a plus de mari opérationnel depuis dix ans ; à un fils qui attend peut-être sa part d’héritage avec impatience ; à des idéologues , comme Jacques Attali et Alain Minc, qui trouvent que les vieux, les handicapés et les malades coûtent cher et que l’euthanasie est l’avenir de la société moderne et progressiste dont ils rêvent.
Alors, comme l’opinion publique est plutôt du côté de ceux qui veulent donner une chance de vivre aux bébés à naître, aux handicapés, aux vieux, aux malades, et même aux comateux, on laisse pourrir la situation. On ne décide pas, on assassine en douce en débranchant ou en laissant mourir de soif et de faim.
C’est l’EHPAD de la pire espèce généralisée à l’hôpital et à l’humanisme, cet « humanisme » de pacotille dont nos idéologues de gauche et les politiques se gargarisent à longueur de discours.
Macron n’est pas Jupiter, c’est Ponce Pilate
Avec le courage qu’on lui connait, le président a fait comme Ponce Pilate. Lui qui aime tant se mêler de tout, même de ce qui ne le regarde pas, a annoncé dimanche dans la journée sur Facebook « il ne m’appartient pas de suspendre l’arrêt des traitements… (assassiner V. Lambert) est conforme à la législation, qui permet de suspendre les soins en cas d’obstination déraisonnable« .
Ah ! Évidemment, si la raison, autrement dit le tiroir caisse, seul langage que le président comprend à la perfection, s’en mêle…
Seulement, une fois de plus, il a non seulement mal parlé, mais il a parlé trop vite.
À 22 h 50 lundi, on apprenait que la Cour d’Appel a ordonné la reprise des soins. Habile, la Cour d’Appel, car maintenant que le président a annoncé officiellement qu’il se lavait les mains du cas Vincent Lambert, elle peut donner la parole à la Justice en toute tranquillité.
Madame épouse Lambert (voir ci-contre) va devoir attendre, et le fiston aussi.
On aimerait que les humanistes de pacotille, les Minc, les Attali, les BHL, nous expliquent ce qu’il y a de « moral » à faire mourir de soif et de faim un être inconscient qui n’a fait de mal à personne, et en quoi le maintenir en vie est déraisonnable si ce n’est pour une basse raison d’argent.
Les dictateurs tentent de se justifier de leurs crimes, pas les fonctionnaires de la médecine !
Les pires dictateurs, Staline, Hitler, Mao, Castro, Maduro, quand ils assassinent, donnent une justification aux meurtres qu’ils ordonnent : il était fasciste ou communiste, nuisible à mon pouvoir ou à la société idéale que je construis ; il a trahi, il est juif, il est mécréant, antimusulman… Mais aucun, même Pol Pot, n’a osé employer l’argument que l’on entend aujourd’hui dans la bouche de nombreux francs-maçons, politiciens, et autres « humanistes » : « parce qu’il coûte cher ».
« La loi l’autorise » ajoute Macron qui « en même temps » dit compatir à la douleur des parents !
Mais c’est encore, au fond et souvent depuis quelque temps, l’argument du pognon.
Ecoutez Attali, dans un ouvrage de 1981, cité par Libération :
« Dès qu’on dépasse 60/65 ans, l’homme vit plus longtemps qu’il ne produit et il coûte alors cher à la société. D’où je crois que… l’objectif ne va plus être d’allonger l’espérance de vie, mais de faire… de telle sorte que les dépenses de santé seront les plus réduites possible en termes de coûts pour la collectivité… en effet du point de vue de la société, il est bien préférable que la machine humaine s’arrête brutalement plutôt qu’elle ne se détériore progressivement… je suis pour ma part, en tant que socialiste, objectivement contre l’allongement de la vie parce que c’est un leurre, un faux problème… Le monde à venir, « libéral » ou « socialiste », aura besoin d’une morale « biologique », de se créer une éthique du clonage ou de l’euthanasie par exemple… L’euthanasie sera un des instruments essentiels de nos sociétés futures ».
Objectivement, Attali ne dit pas qu’il est pour l’euthanasie des vieux… Il dit seulement qu’il est contre l’allongement de leur durée de vie.
Encore une nuance d’intelligence complexe que ne peuvent comprendre nos esprits simples et bornés.
Marc Le Stahler, Minurne-Résistance, le 22 mai 2019
Rappels :
Vincent Lambert : Le neurologue Xavier Ducrocq rétablit la vérité médicale
Ping : Vincent Lambert : Macron n’est pas Jupiter, mais Ponce Pilate - Ma Banque a Moi
Excellent article qui expose en pleine lumière l’infamie des eutha-nazis !!
Il est tout de même malsain de filmer son fils dans cet état et d’en faire faire le tour des réseaux sociaux!!!Tout comme la réaction des avocats à l’annonce de reprise des soins!!!
Quelle horreur….
J’ai trouvé au contraire très courageux de nous montrer que Vincent n’était pas un légume mais bougeait les yeux, la bouche et je comprends les parents qui gardent toujours un espoir même si ce serait un miracle s’il s’en sortait.
Il faut comprendre que toute motivation « éthique » de nos dictateurs n’est plus que liée au fait de savoir si ça rapporte ou non…
Vie humaine, cathédrales, hôpitaux, drones même (t’as vu 64 PV en deux heures …quelle machine à fric ! waouh !)… plus rien ne compte que la rentabilité.
Que vous ne votiez pas ou que vous votiez, faites le contre cette vision mercantile de l’homme pour donner un grand coup de botte dans le cul de ces goulus qui se prétendent gouvernement du fric contre l’homme.
Jean LENOIR
L’ABOLITION DE L’HOMME, par C.S. LEWIS (1898-1963) Ou L’HORIZON DE LA MODERNITÉ
http://www.viveleroy.fr/L-abolition-de-l-homme-par-C-S
« L’éducation traditionnelle a pour finalité de montrer à chacun comment se conformer à NOTRE NATURE, à cette loi naturelle que Lewis — l’auteur du Monde de Narnia — choisit par commodité d’appeler : le Tao. « Seul le Tao fournit à l’action humaine une loi commune qui peut englober à la fois les gouvernants et les gouvernés. La croyance dogmatique en une valeur objective est nécessaire à la notion même d’une autorité qui ne soit pas tyrannie ou d’une obéissance qui ne soit pas esclavage. » À l’opposé, l’éducation dans la modernité se réduit à un conditionnement par des techniques propagande et de manipulation.
LA CONQUÊTE ULTIME DE L’HOMME SUR LA NATURE CONSISTE ALORS DANS LE VIOL DE SA PROPRE NATURE : « il s’agit toujours de discréditer totalement les valeurs traditionnelles et de donner à l’humanité une forme nouvelle conformément à la volonté (qui ne peut être qu’arbitraire) de quelques membres… la maîtrise de l’homme sur lui-même signifie alors simplement la domination des conditionneurs sur le matériau humain conditionné ».
« […] la différence entre l’ancienne et la nouvelle éducation sera d’importance. Là où l’ancienne initiait, la seconde « conditionne ». Avec l’ancienne, on traitait les élèves comme les oiseaux traitent leurs petits pour leur apprendre à voler ; dans la nouvelle, on les traite plutôt comme un éleveur traite ses jeunes volailles, POUR DES RAISONS DONT ELLES IGNORENT TOUT. En un mot, l’ancienne éducation était une sorte de propagation — des hommes transmettant la force de leur humanité aux hommes —, la nouvelle n’est que PROPAGANDE.
« ce que j’ai appelé jusqu’à présent le Tao, et que d’autres peuvent appeler la loi naturelle, la morale traditionnelle ou encore les premiers principes de la raison pratique, ou les vérités de base, n’est pas un système de valeurs possible parmi beaucoup d’autres. C’est la seule source de tous les jugements de valeur.
Si on le rejette, on rejette toute valeur.
Si on en conserve une seule valeur, on le conserve tout entier.
Tout effort qui consisterait à le réfuter pour le remplacer par un nouveau système de valeurs se contredirait lui-même. Il n’y a jamais eu, et il n’y aura jamais, de jugement de valeur radicalement nouveau dans l’histoire de l’humanité.
« La rébellion des nouvelles idéologies contre Tao est une RÉBELLION DES BRANCHES CONTRE L’ARBRE : si les rebelles réussissaient, ils découvriraient qu’ils se sont détruits eux-mêmes. L’intelligence humaine n’a pas davantage le pouvoir d’inventer une nouvelle valeur qu’il n’en a d’imaginer une nouvelle couleur primaire ou de créer un nouveau soleil avec un nouveau firmament pour qu’il s’y déplace.
« LA NATURE HUMAINE SERA LA DERNIÈRE COMPOSANTE DE LA NATURE À CAPITULER DEVANT L’HOMME. La bataille sera alors gagnée.
« Car, comme nous l’avons vu, le pouvoir qu’a l’homme de faire de l’espèce humaine ce qui lui plaît est en fait le pouvoir qu’ont certains hommes de faire des autres ce qui leur plaît.
« Dans le cadre du CONDITIONNEMENT, on s’efforce de produire chez l’élève des jugements de valeur. Le Tao, ou ce qui va en tenir lieu, ne sera plus la motivation, mais le produit de l’éducation. Les conditionneurs se sont émancipés de tout cela. C’est une partie supplémentaire de la nature qu’ils ont conquise. Les ressorts fondamentaux de l’action humaine ne sont plus pour eux une donnée pure et simple ; ils ont livré tous leurs secrets — comme l’électricité ; la fonction des conditionneurs consiste à les contrôler, non à leur obéir. Ils savent comment produire une conscience et décident quel genre de conscience ils veulent produire.
Eux-mêmes se situent en dehors, au-dessus. Car c’est bien du dernier stade de la lutte de l’homme avec la nature qu’il s’agit.
J’AI ENVIE
« Quand tout ce qui dit « C’EST BIEN » a été discrédité, il ne reste plus que ce qui dit « J’AI ENVIE». Et ce n’est pas là une attitude qui peut être dynamitée ou contestée, puisqu’elle n’a jamais eu aucune prétention. Par conséquent, les conditionneurs en viendront forcément à n’être motivés que par leur propre plaisir.
« Ce que je veux montrer, c’est que ceux qui se situent en dehors de tout jugement de valeur ne peuvent avoir aucune raison de préférer un désir à un autre, à moins que cette raison ne se situe dans l’INTENSITÉ ÉMOTIONNELLE du DÉSIR.
« Je doute que nous puissions trouver dans l’Histoire l’exemple d’un seul homme qui, après s’être départi de toute moralité traditionnelle et avoir accédé au pouvoir, ait utilisé ce pouvoir avec bienveillance. Je suis enclin à penser que les conditionneurs haïront les conditionnés. Ils auront beau considérer comme une illusion la conscience artificielle qu’ils auront produite en nous, leurs sujets, ils constateront rapidement que celle-ci crée en nous l’illusion d’un sens à la vie qui soutient favorablement la comparaison avec l’absurdité de leur propre vie, et ils nous envieront comme des eunuques peuvent envier des hommes.
« Si on ne veut ni obéir au Tao ni se suicider, il ne nous reste pas d’autre possibilité que d’obéir à nos pulsions
« La véritable objection tient plutôt au fait que si un homme choisit de se traiter lui-même comme un matériau brut, il sera effectivement matériau brut : non pas une matière première qu’il pourra façonner lui-même à son gré, comme il se plaît naïvement à l’imaginer, mais qui sera manipulée par de simples appétits, c’est-à-dire, par la nature, en la personne de ses CONDITIONNEURS DÉSHUMANISÉS.
« Le processus qui, si on ne l’arrête pas, abolira l’homme va aussi vite dans les pays communistes que chez les démocrates et les fascistes [NDLR : Ces lignes ont été écrites pendant la Seconde Guerre mondiale.].
« Les méthodes peuvent (au premier abord) différer dans leur brutalité. Mais il y a parmi nous plus d’un savant au regard inoffensif derrière son pince-nez, plus d’un dramaturge populaire, plus d’un philosophe amateur QUI POURSUIVENT EN FIN DE COMPTE LES MÊMES BUTS QUE LES DIRIGEANTS DE L’ALLEMAGNE NAZIE. Il s’agit toujours de DISCRÉDITER TOTALEMENT LES VALEURS TRADITIONNELLES et de donner à l’humanité une forme nouvelle conformément à la volonté (qui ne peut être qu’arbitraire) de quelques membres « chanceux » d’une génération « chanceuse » qui a appris comment s’y prendre.
« Ce qui est désormais commun à tous les hommes, c’est un universel abstrait, un plus petit dénominateur commun, et LA MAÎTRISE DE L’HOMME SUR LUI-MÊME SIGNIFIE ALORS SIMPLEMENT LA DOMINATION DES CONDITIONNEURS SUR LE MATÉRIAU HUMAIN CONDITIONNÉ, le monde de l’après humanité que presque tous les hommes d’aujourd’hui, certains consciemment, d’autres inconsciemment, s’évertuent à produire. » …….
Bien déphasée la danseuse…
V’la qu’elle nous parle du tao…
Après moultes relais du RN…
Et c’est moi qui fait de la propagande…
Ceux qui sont aujourd’hui le plus en phase avec le tao…
Ce sont les anarchistes et certainement pas la Marine…
Et quand je dis anarchistes…je parle des vrais…genre eux…
https://resistance71.wordpress.com/
Qui sont plus chrétiens dans leurs démarches et réflexions que quasiment la totalité des baptisés…
Peut-être le summum du paradoxe…
Le tao et Marine…
C’est vraiment la danse du grand escarres…
chapeau l’artiste…
Attali pour l’euthanasie ? En tous les cas, pas pour lui-même et les siens !