The Island (2005) raconte comment on tient en laisse des clones en les effrayant avec une histoire de pandémie…

« Lecteurs, oubliez les infos et apprenez à analyser les bons produits hollywoodiens. Le film The Island (2005, avec Scarlett) raconte comment on tient en laisse des clones (future chair à chirurgie) dans un bunker : en les effrayant avec une histoire de pandémie… On écoute : ‘What do they know about the outside world ? Very little. We control them with the memory of a shared event. A global contamination. It keeps them fearful of going outside’. Les pauvres clones destinés à la boucherie sont crétinisés et maintenus dans l’enfance : In a very real sense… they’re like children. En réalité, il est plus rentable et surtout moins dangereux pour les puissances du monde de faire croire à une pandémie que d’en lancer une véritable, histoire de maintenir leurs populations en esclavage et de ne pas attraper de chtouille au passage… NDLR : presque tous les grands films de dystopie donnaient l’an 2019-20 comme année de l’avènement (Blade runner, Soleil vert, 2019 après la chute de NY, etc)… »

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A propos Olivier Demeulenaere

Olivier Demeulenaere, 58 ans Journaliste indépendant Macroéconomie Macrofinance Questions monétaires Matières premières
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3 commentaires pour The Island (2005) raconte comment on tient en laisse des clones en les effrayant avec une histoire de pandémie…

  1. zorba44 dit :

    Le Grand Mensonge Olivier, je suis en train d’en réunir toutes les composantes afin de comprendre tous leurs projets à la lumière des évènements et décisions qui contraignent nos vies…

    Exemple de mes interrogations : pourquoi interdit-on les espaces de jeux aux enfants ?

    Aucune de leurs mesures n’est grauite, selon mon entendement de leur complot contre la collectivité des humains,

    Jean LENOIR

  2. Eric83 dit :

    Je partage avec vous le mail que j’ai adressé hier au cabinet d’avocats qui a décidé de saisir le Conseil de l’Ordre des Médecins au sujet de Franck Chauvin – Président du Haut-Conseil de la Santé Publique – accusé notamment de charlatanisme.

    Bonjour Me,

    Suite à la prise de connaissance de votre interview sur RT concernant l’avis rendu le 23 mars dernier par le Pr Franck Chauvin, Président du HCSP, et votre saisine du Conseil de l’Ordre des Médecins, je me permets de vous adresser ce mail concernant le communiqué de presse de l’Inserm du 22 mars et la vidéo de l’Inserm du 23 mars au sujet de l’étude clinique Discovery.

    Les informations contenues dans ce communiqué de presse de l’Inserm, la veille de l’avis rendu par le Pr Chauvin et la vidéo de l’Inserm, sont implicitement accablantes pour l’avis rendu le Pr Chauvin…mais pas seulement car ces documents démontrent une autre absurdité aux potentielles conséquences gravissimes pour certains patients.

    En effet, comme vous pourrez le constater en lisant des extraits ci-dessous – et en écoutant la vidéo de l’Inserm – que le Pr Lina indique, on ne peut plus explicitement, qu’un traitement antiviral doit être administré au plus tôt de la maladie parce qu’après un délai d’environ dix jours, il n’a plus d’effet !

    Cette révélation du Pr Lina est accablante pour le Pr Chauvin mais elle l’est tout autant, voire plus, pour tous les décideurs et scientifiques qui se prêtent à la cynique mascarade – car potentiellement létale pour des patients – de l’essai clinique de l’HCQ dans le cadre de l’étude Discovery.

    En effet, les préalables indiquent que TOUS les patients sont déjà hospitalisés dans un état « avancé » de la maladie quand ils reçoivent les traitements… et donc à un stade où tous savent que l’HCQ n’a plus d’effet.

    Juridiquement, comment peut-il être qualifié le fait d’administrer un traitement à des patients « cobayes » d’un essai clinique alors que ceux qui ont incité à cet essai « à la dernière minute » et ceux qui le mènent sont parfaitement au courant que le traitement n’aura au mieux aucune efficacité ?

    Par ailleurs, la « question » de la pression invoquée par le Pr Chauvin quant à son avis rendu le 23 mars se pose également quant à l’inclusion très tardive du bras « HCQ » dans l’essai clinique Discovery et tout particulièrement dans des conditions qui ne peuvent qu’amener à un constat d’échec du traitement.

    Qui a fait pression sur qui, comment et surtout à quelles fins ? Seule certitude, des patients auront subi les conséquences, potentiellement létales, de décisions aussi invraisemblables que gravissimes.

    Etude Discovery :

    3 bras étaient initialement prévus :

    • Remdesivir
    • Lopinavir/Ritonavir
    • Lopinavir/Ritonavir + interféron Bêta

    Un quatrième bras a été ajouté au dernier moment à la demande, d’après l’intervenant de l’Inserm le Pr Bruno Lina – membre du conseil scientifique -, de l’OMS et de l’Etat français

    • Hydroxychloroquine

    Extraits de la vidéo de l’Inserm du 23 mars 2020, propos du Pr Lina, virologue :

    • à 12’ 12 ‘’ : il est très important de faire des inclusions très tôt dans la maladie CAR POUR LA COMPOSANTE ANTIVIRALE IL EST IMPORTANT DE FAIRE L’INCLUSION AU TOUT DEBUT DE LA MALADIE.

    • A 12’50’’ : dans les inclusions LOPINAVIR-RITONAVIR de ces patients ( en Chine ), beaucoup d’entre eux ont été inclus très tardivement, parfois au-delà du 10ème jour de la maladie et on sait que dans ces conditions, LA PRESENCE DU VIRUS EST BEAUCOUP MOINS IMPORTANTE QU’AU TOUT DEBUT ET SI ON VEUT ESPERER UN EFFET ANTIVIRAL DE CETTE MOLECULE, IL FAUT QU’ON LA DONNE TRES TOT.

    A 14’ : on n’est pas sûr que sa capacité antivirale ait été testée dans de bonnes conditions ( trop tardivement )

    Démarrage de l’essai clinique contre le COVID-19
    Vidéo – Inserm 23 mars 2020

    Communiqué de presse de l’Inserm 22 mars 2020
    https://presse.inserm.fr/lancement-dun-essai-clinique-europeen-contre-le-covid-19/38737/

    Etude Discovery : Un essai clinique européen destiné à évaluer quatre traitements expérimentaux contre le Covid-19 vient de démarrer. Coordonné par l’Inserm dans le cadre du consortium REACTing, cet essai inclura au moins 800 patients français atteints de formes sévères du Covid-19. Suite au lancement de cet essai, Florence Ader* – qui pilote cette étude – et Bruno Lina* ont répondu à vos nombreuses questions lors d’une visioconférence.

    https://www.hcsp.fr/explore.cgi/avisrapportsdomaine?clefr=785
    Avis du 23 mars 2020 – recommandations thérapeutiques

    Bien cordialement.
    Eric GYSSLER
    Simple citoyen sidéré et exaspéré par tant d’incurie

  3. Phiphi… À 15h32

    Si au 11 mai, on n’a pas plus de 3000 nouveaux cas par jour, le deconfinement pourra débuter progressivement…

    Mais, si on a plus de 3000 nouveaux cas, alors pas de deconfinement…

    On procédera par tranche de 3 semaines…

    Phiphi toujours…
    Les grandes surfaces de 40000 mètres carrés resteront probablement fermées.
    Les entreprises / commerces pourront re-ouvrir à condition de respecter les règles de distanciation sociale… Les préfets pourront les faire fermer si nécessaire…
    Avec dans les entreprises / commerces, l’organisation des flux de salariés / clients
    Interdiction de quitter son département sauf pour des raisons impérieuses et où de travail…

    Grâce à une intervenante de mon blog qui est bloquée dans sa bagnole depuis le confinement à cause des con-finis de ce gouvernement-qui-ment !

    Jo

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