Chargé de la déontologie des contenus, le nouveau conseil de surveillance du réseau social compte parmi ses vingt membres l’ancienne directrice générale du ministère de la justice israélien. Sous les ordres de la ministre Ayelet Shaked, figure de l’extrême droite, Emi Palmor avait mis en place une cyberunité chargée de contrôler et censurer les posts de Palestiniens.
Le conseil de surveillance de Facebook est l’un de ces machins dont raffolent les mastodontes du numérique pour faire parler d’autre chose que de leurs profits mirifiques. Facebook a ainsi annoncé la mise en place, le 6 mai 2020, d’une instance supposée lutter contre des « discours haineux, néfastes et trompeurs ». Le conseil aura pour mandat de « prendre des décisions définitives » sur la suppression de tel ou tel contenu sur les pages Facebook et les comptes Instagram, une filiale du groupe fondé par Mark Zuckerberg.
Indépendant de Facebook, mais financé à 100 % par un fonds mis en place par la multinationale et doté de 130 millions de dollars (115 millions d’euros), ce conseil pourra être saisi par un internaute qui souhaiterait voir un contenu disparaître, comme par un autre dont le post aurait été supprimé par les modérateurs de Facebook, et qui en ferait en quelque sorte appel. Cette instance sera également susceptible de faire des « recommandations » sur la suppression de tel ou tel type de publication.
N.B. Si j’en juge par les statistiques de fréquentation de mon blog, la reprise en main “déontologique” des contenus de Facebook n’a pas traîné… OD
Tout contenu limité, rayé, effacé ne fait qu’impulser de nouveaux contenus…
In fine on préfère le baillon à la poursuite devant les tribunaux, car cela mettrait encore mieux en lumière le débat sur les dits contenus…
Et ce dernier aspect, contradictoire avec les buts de la censure, le pouvoir n’en veut pas.
Surtout que s’agissant du pouvoir sioniste, il est le moins qualifié pour juger des contenus, lui qui bafoue allègrement la morale et le droit quotidiennement et se permet d’attaquer en permanence ses voisins sur internet comme le souligne l’article publié…
Jean LENOIR
Le temps est Mossad… même pour Israël.
C’est bon signe Olivier…
Continuez comme ça : droit à l’essentiel et au vital !
L’étrange arrêt-maladie d’Assa Traoré.
La porte-parole du comité Vérité pour Adama était salariée de l’Oeuvre de protection des enfants juifs – Baron Edmond de Rothschild jusqu’en décembre 2019. Elle a milité pendant un an alors qu’elle était officiellement en arrêt-maladie.
https://www.causeur.fr/arret-maladie-assa-traore-rothschild-178173?
Etrange en effet et on comprend mieux le mutisme gêné de son employeur… Profil de la jeune personne qui ne cadre pas avec celui de l’image d’Epinal de la jeunesse des cités !
Jean LENOIR