Chute brutale de la natalité en Allemagne et en Suisse

Le début de l’année 2022 est marqué par une brutale chute de la natalité en Allemagne et en Suisse. Lorsque l’on examine les chiffres, et qu’on les met en perspective avec ceux des années précédentes, on note une baisse significative des naissances pour les deux pays.

Que disent les statistiques officielles ?

Selon les résultats provisoires de l’office allemand de la statistique Statistisches Bundesamt (Destatis) pour l’année 2022, environ 285 800 enfants sont nés en Allemagne entre janvier et mai 2022. Lorsque l’on observe les chiffres des années 2019, 2020 et 2021 et en établissant une comparaison sur les mêmes mois, on note une diminution de 9 % des naissances. Une baisse particulièrement importante de janvier à avril (− 10 % selon des données encore incomplètes) qui se réduit cependant au mois de mai à – 3 %.

Il existe également des différences importantes entre l’Allemagne de l’Ouest, qui a accusé une diminution de 8 %, et celle de l’Allemagne de l’Est, plus élevée encore avec une baisse de 12,9 % (−12,5 % sans Berlin).

Lorsqu’on entre dans les détails, c’est le nombre de naissances du deuxième enfant qui accuse la plus forte baisse avec (− 11 %) des naissances. Pour le premier enfant, l’institut de la statistique affiche une baisse de 8,3 %, tandis que pour le troisième, ce chiffre est de – 6 %. 

De son côté, la Suisse accuse une diminution plus marquée encore puisque selon les chiffres de l’Office fédéral de la statistique (OFS), il y aurait 5 526 nouveau-nés de moins enregistrés par rapport à l’année précédente, ce qui équivaut à une baisse de 15,1 % des naissances.

Comment interpréter ces chiffres ?

L’examen des chiffres de la natalité en Suisse ou en Allemagne pour l’année 2022, et la comparaison établie avec les données des années précédentes, fait apparaître une diminution spectaculaire et inédite des naissances.

À la lecture de ce qui est rapporté dans la très grande majorité des médias sur le sujet, on constate que les problèmes de fertilité rencontrés suite à l’infection par Sars-CoV-2, ou suite à la vaccination contre le covid, ne sont jamais envisagés comme des causes potentielles de chute de la natalité. Cependant, lorsqu’on regarde de plus près les périodes des premières vaccinations pour les personnes en âge de procréer (20 à 49 ans) en 2021, et la chute des naissances neuf mois plus tard, l’étrange correspondance qui en ressort interroge et mériterait certainement une investigation.

Cependant, lorsqu’un phénomène d’aussi grande ampleur que celui-ci se produit, il est toujours dangereux de lui attribuer une cause unique. Mais, il est également dangereux de ne pas l’envisager pour l’inclure dans les causes possibles de la baisse de la fertilité. 

Une étude anticipe la baisse de la population mondiale

D’après les dernières prévisions des Nations unies, la population mondiale pourrait atteindre les huit milliards d’êtres humains le 15 novembre prochain, et 10,4 milliards en 2100. Cette projection, loin de faire l’unanimité, est notamment contestée par James Pomeroy, un économiste de HSBC qui a rendu des prévisions très différentes dans son étude parue le 22 août 2022. Selon lui, la population mondiale pourrait être divisée par deux d’ici à 2100, un chiffre qu’il explique à la fois par la baisse de la natalité et la hausse de la mortalité due au vieillissement de la population.

« La probabilité que la taille de la population mondiale commence à se réduire dans les vingt prochaines années est bien plus élevée que ce que nous avions prévu initialement », a déclaré l’économiste, qui pense que le pic prévu vers 2080 par les Nations unies ne serait pas réel. Lui, le situe plutôt aux alentours de 2043. Dès lors, la décroissance commencerait plus tôt que prévu. 

Le taux de fécondité ne cesse de baisser. Dans les années 50, la fécondité moyenne de la population mondiale était de 5 enfants par femmes, un chiffre qui s’est effondré à 2,3 % de naissances par femmes en 2021 et qui pourrait encore baisser à 2,1 % d’ici à 2050, aboutissant à la stabilité de la population avant de chuter rapidement pour aboutir à 4 milliards d’habitants sur Terre d’ici à 2100.

Selon le rapport, cette baisse du taux de fécondité aurait de multiples causes. L’accès à la contraception, la hausse des prix de l’immobilier dans les pays développés ainsi que l’intégration des femmes au marché du travail sont autant de facteurs qui pourraient jouer en faveur de cette baisse mondiale du taux de natalité. Pour autant, la possibilité que l’infection par Sars-CoV-2 ou la vaccination contre le covid ait pu affecter la fécondité n’est jamais mentionnée dans le rapport.

L’action de la protéine Spike sur les organes reproducteurs

Parmi les effets induits par le SARS-CoV-2 ou par la protéine Spike vaccinale, on observe des atteintes au niveau des organes sexuels de la reproduction.

L’Étude israélienne

Une étude israélienne sur la baisse de la fertilité après la vaccination a démontré que l’injection du vaccin génique Pfizer altérait temporairement la fertilité, avec un retour à la normale possible, mais pas démontré après l’injection. En effet, lorsqu’on examine les données, on constate qu’au bout de six mois (T3), il y a encore une diminution de 15,9 % du niveau de la concentration en sperme tandis que le nombre total en spermatozoïde mobile (REM) accuse encore une baisse de 19,4 %.

On considère que la fertilité est altérée lorsque le nombre de spermatozoïdes mobile est en dessous de 40 %. Si la valeur normale se situe entre 40 et 81 %, une baisse de 19,4 % est susceptible de rendre infertiles toutes les personnes qui ont une moyenne en dessous de 60 %. 

Cette étude ayant été réalisée sur les donneurs vaccinés avec deux doses, on peut par ailleurs se demander quels pourraient être les conséquences des injections répétées tous les trois ou quatre mois, et ce qu’il en est pour les donneurs qui ont déjà reçu trois, quatre ou cinq doses. 

Lire la suite sur FranceSoir.fr

Rappels :

Poison vaccinal : Pfizer classe les fausses couches parmi les effets indésirables « résolus »

Gonzalo Lira : « De plus en plus de morts, de moins en moins de naissances »

Infertilité : un agenda diabolique

A propos Olivier Demeulenaere

Olivier Demeulenaere, 58 ans Journaliste indépendant Macroéconomie Macrofinance Questions monétaires Matières premières
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8 commentaires pour Chute brutale de la natalité en Allemagne et en Suisse

  1. Kodiak dit :

    Un copain au téléphone hier… Injecté par les vaxx…
    Après avoir lu quelques articles de sites *complotistes*, il se pose de plus en plus de questions et se rend petit à petit compte que ce que beaucoup appellent des vaccins n’en sont en réalité pas. Il m’avoue ensuite qu’il constate de plus en plus de problèmes de santé plus ou moins graves chez des personnes de son entourage. En voilà un qui est entrain de se prendre la première baffe on dirait.

    • Catherine dit :

      Il est en train de « virer sa cuti » en somme.😌😌. Et lui, pour le moment, il n’a aucun symptôme ??? Il ne doit pas se sentir bien à l’aise.. En tous les cas, je ne voudrais pour rien au monde être à sa place. Ce doit être flippant de se rendre compte que l’on a mis sa vie …..en suspension….

  2. e dit :

    comme par hasard, la baisse de natalité a lieu non dans la première année de « covid » imaginaire (aucune vidéo du virus isolé vivant existe), mais après les campagnes d’injection.

    et après ils osent dire que c’est le « covid » imaginaire qui stérilise les gens et pas les injections!

  3. Ping : Chute brutale de la natalité en Allemagne et en Suisse | Qui m'aime me suive…

  4. zorba44 dit :

    Rendre les couples infertiles, un des objectifs majeurs de la piquouze….

    C’est en bonne voie !

    Jean LENOIR

    • Catherine dit :

      Bonjour Zorba44, et on aura beau se bécoter sous la couette, l’exercice ne sera pas suivi d’effet. En attendant, on se tiendra bien au chaud pendant cet hiver glacial et peut-être d’autres hivers. Clin d’œil à un mini bug informatique 😉😉😉

  5. e dit :

    ce serait intéressant de connaitre le nombre de fausses couches en Suisse et Allemagne après les injections qui empêchent les femmes d’avoir des gosses à nouveau

    Pfizer a qualifié les fausses couches d’effets secondaires résolus

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