COVID-19. L’Italie a-t-elle été punie pour avoir fait alliance avec la Chine et l’Iran ?

Un avatar bioterroriste du Gladio… Il ne faut pas perdre de vue que l’Italie est une pièce maîtresse dans le dispositif européen de l’OTAN. On comprend que les Chinois aient décidé d’apporter leur aide aux Italiens dans leur lutte désespérée contre l’épidémie… OD

« Nous avons étudié de manière intensive les foyers de virus depuis l’apparition des premiers cas à Wuhan. Cependant, ce n’est que maintenant que nous avons compris ce qui se passe et qui est derrière tout cela.

Il y a quelques jours, nous avons reçu un indice de ce type de la part d’un dissident israélien notoire et en disgrâce, qui a écrit sur les « gens sympas » du Gatestone Institute et sur la façon dont ils avaient publié un article sur le virus qui s’est échappé d’un laboratoire de biologie chinois à Wuhan.

La seule mention du Gatestone Institute a immédiatement déclenché mon détecteur de conneries et j’ai décidé de me pencher sur la question. Les lecteurs de VT connaissent depuis longtemps le Gatestone Institute et sa célèbre directrice, Nina Rosenwald, l’archi-sioniste pro-Israël, ancienne membre du conseil d’administration de l’AIPAC et de la JINSA, deux organisations au cœur du lobby israélien aux États-Unis qui sont profondément complices de l’ingérence israélienne dans la politique américaine. Ce ne sont pas des « gens sympas », ce sont des gens comme les autres, mais ce sont des traîtres qui ont activement contribué au viol et au meurtre des États-Unis par les criminels sionistes.

L’article incriminé a été rédigé par un Italien du nom de Giulio Meotti et peut être consulté ici :

Coronavirus: China’s War on the Truth by Giulio Meotti, March 7, 2020

L’article est un morceau dégoûtant de propagande noire anti-chinoise, son but principal est de promouvoir l’idée que les Chinois sont des gens complètement mauvais et indignes de confiance et qu’ils sont eux-mêmes responsables de l’épidémie virale qui s’est échappée d’un laboratoire de recherche de Wuhan.

J’irai droit au but : cet article est une pure connerie et Giulio Meotti est un agent de désinformation israélien.

Alors, pourquoi avons-nous une bande de laquais israéliens notoires qui font la promotion d’un récit frauduleux sur les origines du virus ?

La réponse est évidente : ils couvrent le fait que l’épidémie de virus est l’œuvre des Israéliens, un acte de bioterrorisme à grande échelle.

J’ai déjà expliqué pourquoi la Chine est attaquée dans mon introduction à l’article de Gordon publié hier, lecture indispensable pour comprendre la situation actuelle :

Trump’s Engineered Crash: Massive Pump and Dump Over Deep State Bio-Engineered Pandemic Has Killed America

En voici un extrait :

« Bien sûr, les mains cachées qui contrôlent la quasi-totalité du globe et de son économie n’étaient pas prêtes à permettre aux Chinois de devenir la puissance économique, industrielle et militaire dominante, et elles ont donc décidé de faire la guerre à la Chine ; une guerre non déclarée qui ne ressemble à aucune autre qui l’a précédée car elle n’est pas menée sur les champs de bataille par des militaires ni dans le ciel par des avions et des missiles.

Un rapide récapitulatif de certaines des actions offensives menées contre la Chine laisse peu de doute sur le fait qu’une campagne concertée est menée contre la puissance asiatique :

• Le soulèvement des Ouïghours musulmans dans la province de Xianjing, parrainé par la CIA, a coûté aux Chinois d’énormes sommes d’argent et a nécessité de vastes efforts de répression.
• La décimation des élevages porcins chinois par la grippe porcine
• Les épidémies de grippe aviaire qui ont provoqué une telle panique et ont causé de graves dommages aux économies asiatiques.
• La guerre commerciale de Trump et les sanctions américaines contre la Chine.
• La diabolisation de la technologie 5G, en particulier celle du leader du marché avec la meilleure technologie – Huawei
• L’arrestation illégale du directeur financier de Huawei au Canada
• L’attaque du port de Tianjin avec une arme nucléaire
• Les manifestations organisées par les États-Unis à Hong Kong
• Les empiètements provocateurs des flottilles de la marine américaine dans la mer de Chine méridionale et les détroits de Taiwan.

Ce n’est qu’une courte liste, il y en a beaucoup d’autres qui pourraient être ajoutées à la liste, mais le tableau est clair – la Chine a subi une attaque soutenue ces dernières années ».

Cela couvre la Chine, mais qu’en est-il de l’Italie ? Ce pays a été le deuxième plus touché et l’ampleur de l’épidémie y est bien plus grande que dans tous les autres pays. Il est clair que l’Italie a fait l’objet d’une punition spéciale qui dépasse tout le monde, sauf les Chinois.

La réponse à la question de savoir pourquoi l’Italie est attaquée n’est pas difficile à trouver, il suffit de lire les premiers paragraphes de cet article du Conseil européen des relations extérieures (ECFR) :

Ecfr.eu : Italy’s Chinese dilemma

« Avant la visite de Xi Jinping en Italie, l’initiative chinoise des « Routes de la soie » (Belt and Road Initiative, BRI) s’est ajoutée à la longue série de questions qui divisent les partis au pouvoir en Italie.

Il suffit de jeter un coup d’œil aux médias italiens pour savoir que, quel que soit l’éventail politique, le débat public en Italie est dominé par des discussions sur la question de savoir si le gouvernement chinois tente d’acheter le pays. Suite à l’approbation officielle par Rome de l’initiative « Belt and Road » (BRI) au début de ce mois, la plupart des décideurs et commentateurs politiques italiens semblent avoir mis de côté les défis urgents de l’agenda européen pour se concentrer sur ce changement inattendu vers l’Est. Même des questions aussi conflictuelles que l’immigration et les pouvoirs de l’Union européenne – piliers de l’identité politique du mouvement des cinq étoiles au pouvoir et de la Ligue – semblent désormais quelque peu dépassées.

Le débat oppose ceux qui privilégient le renforcement des relations économiques avec la Chine à ceux qui craignent que l’initiative ne fasse de l’Italie la « prochaine Afrique ou Grèce ». À bien des égards, la récente montée de l’enthousiasme italien pour des relations économiques plus étroites avec la Chine a commencé en 2014, lorsque Matteo Renzi, alors Premier ministre, a effectué une tournée très médiatisée dans le pays. Le successeur de Renzi, Paolo Gentiloni, a poursuivi l’effort de courtiser Pékin, tout comme l’actuel gouvernement italien.

La Chine et l’Italie négocient actuellement un mémorandum qui comprend 50 accords économiques, culturels et infrastructurels, dont la plupart concernent des entreprises publiques et privées italiennes, y compris des champions nationaux. Le mémorandum – qui, contrairement à ceux que Pékin a conclus avec 13 autres États européens, n’est pas juridiquement contraignant – sera signé lors du voyage du président Xi Jinping en Italie du 21 au 24 mars (la première visite de ce type d’un dirigeant chinois depuis la participation de Hu Jintao au sommet du G8 à L’Aquila en 2009). Le Premier ministre Giuseppe Conte, un ancien avocat, a souligné à plusieurs reprises que le mémorandum comprendra toutes les références nécessaires aux valeurs européennes et multilatérales que l’Italie a demandé à la Chine de respecter. Il vise à rassurer les partenaires européens et autres de Rome – principalement Washington – sur le fait que l’Italie reste attachée à l’UE et à la relation transatlantique ».

En bref, l’Italie a tissé des liens solides avec la Chine, notamment sur le plan économique. Comme l’indique si succinctement l’article de l’ECFR :

Rome semble maintenant coincée entre Pékin et Washington – entre les opportunités économiques et les garanties de sécurité

L’Italie s’est détachée du troupeau et a osé aller de l’avant avec des politiques commerciales et économiques qui l’entraînent dans l’orbite de la Chine, ce qui n’est tout simplement pas acceptable pour les criminels sionistes internationaux, qui veulent que la Chine soit isolée, dépourvue d’alliés et donc vulnérable.

La « récompense » de l’Italie pour avoir osé s’allier à la Chine est de devenir une victime du bioterrorisme israélien et elle sera très durement touchée, juste pour s’assurer que tous les autres pays ont peur de conclure des accords avec la Chine ou de rejoindre son initiative « Belt & Road ».

Étant donné que l’Italie a une population âgée et que ses services publics sont sous-financés depuis de nombreuses années, le risque que l’épidémie se transforme en une situation vraiment épouvantable est fort. Les autorités italiennes n’ignorent pas ce fait et prennent des mesures très fermes. Le pays est pratiquement bouclé, les voyages sont interdits, ceux qui enfreignent l’interdiction risquent d’être emprisonnés, la police et l’armée sont en attente pour faire appliquer le verrouillage de la quarantaine.

Il faut s’attendre à ce que la situation empire en Italie, car on en fait un exemple et les sanctions seront sévères afin d’effrayer et d’intimider tous les dirigeants du monde ».

Ian GreenHalgh, Veterans Today, le 11 mars 2020

Traduction Olivier Demeulenaere (avec DeepL.com)

Lire aussi (sur le rapprochement avec l’Iran) (non traduit) :

WHO : COVID-19 PANDEMIC ! As Predicted in Bill Gates forum with ex-CIA. Italy and Iran Massacred in Bio-Warfare fot their AI Deal