Pour mieux comprendre le malthusianisme à l’oeuvre derrière le « Great Reset » et la pandémie-prétexte, relisez W. Engdahl sur l’arnaque climatique !

Maurice Strong (1929-2015)

En particulier cet extrait d’un article publié ici même en 2018, intitulé « La sombre histoire derrière le réchauffement climatique du GIEC » :

« Bien peu de gens sont au courant des origines politiques et même géopolitiques de ces théories relatives au changement climatique. Comment en est-on arrivé là ? Le soi-disant « changement climatique », acc. (aussi connu comme) le « réchauffement mondial », constitue en fait un agenda de désindustrialisation néo-malthusien qui fut originellement développé par des cercles d’influence autour de la famille des Rockefeller, au début des années 1970, afin de prévenir l’émergence de nouveaux rivaux industriels indépendants, de façon d’ailleurs similaire aux guerres commerciales de Trump aujourd’hui.

Dans mon livre, Mythes, mensonges et guerres du pétrole [Myths, Lies and Oil Wars], j’ai détaillé comment le groupe hautement influent des Rockefeller a également soutenu la création du Club de Rome, de l’Institut Aspen, de l’Institut Worldwatch et du rapport du MIT sur les « Limites de la Croissance / Halte à la croissance ? [The Limits To Growth] », ou « Rapport Meadows », de 1972.

Le personnage clé et organisateur précoce de cet agenda « zéro croissance [zero growth] » des Rockefeller au début des années 1970, fut l’ami de longue date de David Rockefeller : un pétrolier canadien nommé Maurice Strong. Strong fut en effet l’un des premiers propagateurs de cette théorie infondée scientifiquement selon laquelle les émissions d’origine humaine provenant des véhicules de transport, des centrales à charbon et autres structures agricoles étaient la cause d’une accélération dramatique de l’augmentation de la température mondiale, susceptible de menacer la civilisation : le soi-disant « réchauffement climatique ».

En tant que président de la Conférence des Nations Unies sur l’Environnement de Stockholm de 1972, Strong promut un agenda de réduction de la population et d’abaissement des niveaux de vie partout dans le monde, afin de « sauver l’environnement ». Quelques années plus tard, le même Strong a réitéré sa prise de position écologiste radicale : « n’est-ce pas le seul espoir pour la planète, que les civilisations industrialisées s’effondrent ? N’est-ce pas notre responsabilité de faire en sorte que cela se concrétise ? »[13] Le cofondateur du Club de Rome, le Dr. Alexander King, a admis la fraude dans son livre : « La première révolution mondiale [The First Global Revolution] » (1991). Il a déclaré : « en recherchant un nouvel ennemi afin de nous unir, nous sommes arrivés à l’idée que la pollution, la menace d’un réchauffement mondial, les pénuries d’eau, les famines et autres correspondraient tout à fait à ce but […] tous ces dangers sont causés par intervention humaine […] le vrai ennemi devient alors l’humanité elle-même»[14]  Relisez ce passage, et imprégnez-vous-en : l’humanité, et pas uniquement les 147 banques et multinationales mondiales qui déterminent notre environnement aujourd’hui, porte cette responsabilité et devient donc l’ennemie.

Plus tard après ce Sommet sur l’Environnement, Maurice Strong fut nommé Assistant Secrétaire général des Nations unies et conseiller politique en chef [Chief Policy Advisor] auprès de Kofi Annan [NdT : Secrétaire général des Nations unies de 1997 à 2006]. Il fut l‘architecte clé du protocole de Kyoto (1997-2005) qui déclara que le réchauffement climatique d’origine humaine était réel d’après le « consensus », et qu’il était « extrêmement vraisemblable » que les émissions de CO2 d’origine humaine en aient été la cause prédominante. En 1988, Strong avait entre-temps été un personnage clé de la création du GIEC de l’ONU, et plus tard de la Convention cadre sur le changement climatique, le Sommet de Rio qu’il présida en 1992, et qui approuva son Agenda 21 de l’ONU, d’inspiration mondialiste.[15]

Ainsi, le GIEC de l’ONU et son agenda sur le réchauffement climatique, constitue un projet politique et non pas scientifique. Son dernier rapport est comme les précédents, basé sur une science fausse et sur une fraude complète. Le professeur Richard S. Lindzen du MIT, a critiqué dans un récent discours les politiciens et activistes qui clament que « la science est fixée définitivement », et a exigé « des changements sans précédent dans tous les aspects de la société. » Il a remarqué surtout qu’il était totalement impossible pour un tel « système multifactoriel » comme le climat, de pouvoir être résumé par juste une seule variable, celui du changement dans les températures moyennes mondiales, et qu’elles puissent être contrôlées de façon primaire par une simple variation de 1 à 2 % dans le budget énergétique[16] due au CO2. Lindzen a également détaillé comment « une conjecture impossible soutenue par de fausses preuves, incessamment répétée, a pu prétendre devenir de la ‘connaissance’ utilisée ensuite à fin de promouvoir le renversement de la civilisation industrielle ».[17]

Notre monde a en effet besoin d’une « transformation sans précédent », mais une qui serait plutôt de nature à promouvoir la santé et la stabilité de l’espèce humaine plutôt que de vouloir la considérer comme l’ennemie… »

W. Engdahl, La sombre histoire derrière le “réchauffement climatique” du GIEC

Rappels :

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A propos Olivier Demeulenaere

Olivier Demeulenaere, 58 ans Journaliste indépendant Macroéconomie Macrofinance Questions monétaires Matières premières
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15 commentaires pour Pour mieux comprendre le malthusianisme à l’oeuvre derrière le « Great Reset » et la pandémie-prétexte, relisez W. Engdahl sur l’arnaque climatique !

  1. Clavreul dit :

    La protection de l’environnement peut faire objet de manipulation, malgré tout, est ce que tout est faux ?

    • Vous confondez semble-t-il le réchauffement climatique et la protection de l’environnement. Ne mélangez pas tout !

      • clavreul dit :

        Réchauffement ou protection quelle différence ?
        La remise en cause de notre production et de notre consommation n’est elle pas à remettre en cause ?
        Eux manipulent les population au travers du réchauffement, moi j’y vois un réel problème en terme de santé publique par intoxication.
        On peut y mettre la pollution des eaux qui est tout aussi urgente.

  2. clavreul dit :

    internet est comme les médias main Stream, il n’y a plus de débat nul part, tu adhères ou tu dégages…
    Bon courage !

  3. zorba44 dit :

    Bonsoir Olivier, je ne découvre que votre site est taxé de dictature de l’information par l’intervenant !… Il me semble, pour ce qui me concerne (et si ma mémoire ne me fait pas défaut) que l’erreur dramatique est celle qui consiste à croire et à faire accroire qu’un changement de climat est en cours alors qu’il ne s’agit de variations depuis que la Terre existe…

    Jean LENOIR

    • xavib dit :

      2 conseils à ce jeune homme :

      1/ Qu’il attende d’avoir un peu grandi et mûri avant de prétendre régler des sujets extrêmement complexes
      2/ Qu’il commence par étudier la politique et la géopolitique, il se rendra compte que c’est beaucoup plus utile pour comprendre d’où vient le réchauffement climatique… qui n’existe ni sous la forme anthropique ni sous la forme naturelle.

      • clavreul dit :

        Faut il encore présenter une contre argumentation de la qualité du travail de  » ce jeune homme « .
        Imaginez que les pays sous développés comme l’Inde se mettent à produire comme la Chine.

      • Alcide dit :

        @ Clavreul
        …Imaginez que les pays sous développés comme l’Inde se mettent à produire comme la Chine…

        Vous voulez dire que c’était mieux du temps des colonies, de la famine organisée, du pillage et qu’il est naturel qu’une partie de l’humanité reste « sous-développée » ?

      • matbee dit :

        oui xavib ce jeune homme est visiblement un puceau de la politique…

      • clavreul dit :

        Non, je suis en train de dire que si l’ensemble des continents se mettent sur un modèle de développement à l’image de l’Amérique cela va générer de gros problèmes en terme d’environnement et par conséquent de santé publique. Il faut revenir à une économie de proximité, entre parenthèse ce que les dominants sont en train de détruire avec le covid19. Le standard économique c’est un collectivisme qui enrichi des parasites et asservis le travailleur en générant un destruction du tout.
        Pour le  » puceau politique « , si seulement la France avait aujourd’hui une jeunesse qui avait un intérêt et une capacité de travail comme ce jeune homme, qu’il est raison ou tort dans ces propos et là encore une fois mettre des arguments contradictoires en face des siens, il y aurait peut être plus d’engouement à produire un vrais débat public sur ce genre de problèmes. Le fait que le choix soit de laisser la puissance marxiste dominé le monde n’est pas un hasard pour générer un dictature mondiale, malgré tout, le développement économique sur la base du pétrole pour une population de 8 milliards d’habitants est je le pense, générateur de problèmes à venir.

  4. Clavreul dit :

    Après, effectivement on peut se poser bien des questions.

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