Le banquier “Davos-friendly” aidera à créer un « nouveau niveau d’administration ».
Herman Gref est le PDG de la plus grande banque russe, la Sber.
C’est également un ancien ( ?) membre du conseil d’administration du Forum économique mondial, qui a rédigé la préface de l’édition russe de l’ouvrage de Klaus Schwab intitulé La quatrième révolution industrielle.
En 2020, Sber – qui, une fois de plus, est une banque – a joué un rôle central dans la fabrication et la diffusion de la bouillie génétique non prouvée de la Russie, Sputnik V.
Gref lui-même soutient qu’il s’est fait injecter cette bouillie expérimentale inspirée d’AstraZeneca en avril 2020, deux mois avant le début des essais cliniques.
Au cours des dernières années, Sber – souvenez-vous : une banque – a été occupée à développer des technologies d’intelligence artificielle et de biométrie, avec un accent particulier sur le déploiement de ces merveilles modernes dans les écoles.
Toutes les personnes normales sont d’accord pour dire que Herman Gref est un lézard de l’espace et qu’il faut l’arrêter avant qu’il ne soit trop tard.
Imaginez donc notre surprise lorsque Vladimir Poutine a applaudi le « grand projet » de Gref pour la Russie alors qu’il s’exprimait lors d’une conférence sur l’intelligence artificielle organisée par le PDG de Sber en novembre :
Notre prochain objectif à l’horizon de la décennie actuelle est de permettre une introduction plus large de l’intelligence artificielle. Elle devrait pénétrer tous les secteurs de l’économie, les services sociaux et le système d’administration publique.
M. Gref et moi en avons parlé lorsqu’il travaillait encore au sein du gouvernement, et c’était le projet favori de M. Gref – il n’a jamais cessé de parler de la nécessité de passer à un nouveau niveau d’administration en général, dans son ensemble.
Ce que nous faisons maintenant, et ce que nous ferons, y compris avec le soutien de Sber et en utilisant les projets de Sber, devrait définitivement nous convaincre que nous sommes sur la bonne voie, je pense.
Nous devons être capables de parvenir à une véritable souveraineté technologique, numérique et, dans une large mesure, culturelle, éducative et fondée sur des valeurs pour la Russie et notre société tout entière.
Voulez-vous un exemple récent du type de « souveraineté culturelle, éducative et fondée sur des valeurs » que Sber est en train de créer pour la Russie ?
Deux semaines après que Poutine a déclaré que la Russie était « sur la bonne voie », en partie grâce à Sber (Gref), le rapport suivant est paru dans les médias russes :
Le ministère de l’éducation et des sciences du territoire de l’Altaï a confirmé, en réponse à une demande de Bankfax, que le gouvernement régional a reçu une offre de Sberbank pour introduire un système de contrôle électronique dans les établissements d’enseignement de la région. Ce système utilise la biométrie pour limiter l’entrée des personnes non autorisées et malades dans les établissements, et identifie également les comportements menaçants des étudiants eux-mêmes. […]
Sber a fait état de ses progrès dans la création d’un système numérique en août de l’année dernière. L’entreprise les a présentés comme une solution complète permettant d’assurer la sécurité, le confort et un processus d’apprentissage efficace. Comme le montre la description publiée par le service de presse de l’organisation, la technologie implique l’installation d’un système de contrôle et de gestion des accès dans un établissement d’enseignement.
[Le système] contrôle automatiquement les portes et les tourniquets et autorise l’accès aux installations scolaires à l’aide de la biométrie faciale (identification du visage) ou d’une carte, et envoie également aux parents une alerte sur l’heure d’arrivée et de départ de l’enfant en classe.
Les capteurs peuvent même surveiller la température des élèves – le système bloque l’entrée des enfants malades. […]
En outre, le complexe affecte également le système éducatif lui-même, en révélant les orientations et les intérêts d’un élève particulier et en concevant un vecteur de développement pour lui.
La bonne nouvelle est que les autorités de l’Altaï auraient écarté cette proposition.
La mauvaise nouvelle est que des systèmes similaires, parfois appelés « écoles intelligentes », sont déjà en train de se développer en Russie.
Poutine est-il d’accord avec ça ? On dirait bien que oui.
Edward Slavsquat, le 9 janvier 2023
Traduction : Olivier Demeulenaere
Rappels :
Poutine a promulgué une loi sur la biométrie qui est comme un tourbillon à la cannelle
Moscou va développer un système de paiement biométrique « sûr et pratique »
Vaccination de masse et changement climatique : l’étrange ordre du jour du Davos russe
Olivier Demeulenaere - Regards sur l'économie 
@mark knopfler
Plusieurs remarques :
C’est mon opinion, mais je ne pense pas que V Poutine soit au même niveau d’allégeance qu’un J TRUDEAU ou qu’un E Macron. Après je constate que si E Macron, comme V Zélinsky ont fait le déplacement à la Maison blanche, au vu du décor & du décorum que semble révéler la photo, c’est K Schwab qui se déplace au Kremlin.
Qu’elle est l’année où ce cliché a été pris ?
On a tellement la tête dans le guidon (en grande partie grâce à la pravda de la nomenklatura) qu’un tout petit nombre d’individus réalisent que l’on assiste à un nouveau Yalta (la Chine en plus).
Manifestement, une partie de l’establishment UK & US voudrait voir la Fédération de Russie se transformer en »station service ». Je peux certes me tromper, mais je pense que K Schwab poursuit un autre projet.
Un personnage comme Poutine a assez de finesse et d’expérience pour entamer une négociation à plusieurs niveaux.
Ama, la Chine comme la Russie, veulent bien participer à un nouvel ordre mondial concocté pourquoi pas par les Davossiens sans pour autant accepter de se laisser tondre la laine sur le dos.
La magie du pouvoir de la propagande des images… Deux dictateurs posant pour l’organe interne de presse qui diffusera/relaiera dans le MONDE entier.
Chaque citoyen croyant à un rapport de gentil/méchant (le gentil reçoit le méchant), ceci caractérisant une illusion d’opposition globale (les deux étant des petites frappes).
Le plan du donneur d’ordre au dessus est génial, comme le PGP…
Continuons vivre dans l’illusion, comme pour le foot les penalties c’est du hasard !
Voilà, nous y sommes. Je dis depuis la plandémie que Poutine est un agent double.
Poutine est un petit joueur par rapport à Xi Jinping.
Synagogue – République – Franc- maçonnerie.
https://www.chinadaily.com.cn/china/2007-08/31/content_6071271.htm
Tous ces gens sont employés par des forces bien supérieures à eux. Leurs gouvernements seront détruits le jour où le pouvoir autocrate de l’ antéchrist sera institué. Le chaos est savamment orchestré pour que les populations acceptent ce futur dirigeant pour le monde qui portera le sang de Sion. Par cette gigantesque crise, les forces révolutionnaires pillent les nations et construisent de gigantesques monopoles sous la domination des cartels financiers : Black Rock etc…
Le peuple unique déraciné, errera dans un monde qui aura détruit l’ ensemble de ses murs porteurs : Les religions, les frontières ainsi que les nationalités.
L’ adversaire qui s’ élève au- dessus de tout ce qu’ on appelle Dieu ou de ce qu’ on adore, jusqu’à s’ asseoir dans le Temple de Dieu, se proclamant lui- même Dieu. Thessaloniciens 2 : 4
C’est pas « gref » les systèmes d’IA planifiés interdiront à ce banquier tout mouvement, pour cause de désordre mental…
Jean LENOIR
« Quand je vous parle de gens comme Mme Merkel – et même Vladimir Poutine, etc. – ils ont tous été Young Global Leaders du World Economic Forum !« Schwab
Oui j’avais publié l’article :
Oui, mais il est toujours bon, pour certaines choses (mais pas pour d’autres…), de faire des piqures de rappel.
🙂
Un « grand reset » façon russe ?
Un autre bon article qui suggérait le trouble (double)-jeu poutinien :
Ils organisent actuellement l’armée internationale sous couvert d’une guerre, pour leur Paix perpétuelle (cf. livre offert par M au Pape François le 24/10/2022). Car une coordination est nécessaire à grande échelle entre les nations.
Ainsi, toute nation qui tentera de s’opposer dans le futur au Dragon totalitaire numérique se verra envoyer illico les troupes de l’Empire.
C’est aussi simple que cela (personne, non personne, n’échappera au nouvel Ordre…).
Une armée internationale en digne héritière des casques bleus.
Une armée coordonnée par une autorité Supra, par delà les Etats-nations, dépouillés de tout leur Régalien.
Depuis Cecil Rhodes avec sa London School of Economics…dont sont sortis Haeyck Pierre Trudeau, Papandreou, Aujourd’hui nous avons ….Chaque année, le Forum économique mondial nomme ses nouveaux YGL = Global Leaders..dirigé par Schwab .. dont sortent Angela, Trudeau, Macron, Clinton et peut-être aussi Vladimir et bien d’autres….formés pour devenir les mal faisants du siècle. je ne sais pas où classer Tony Blair, mais soit…. ne nous laissons pas tromper en donnant notre crédit à l’un ou à l’autre….
soyons convaincu que ce beau monde « dérangé du cerveau » s’occupe bien de notre avenir mais dans le luxe. (la luxure corrompt énormément)
Article excellent (tant d’autres choses sont occultées volontairement).
Les parents Babyloniens seront ravis que leur « enfant startup » soit encadré/contrôlé par l’IA du Dragon. Tout comportement déviant ou contre l’autorité sera très vite décelé, c’est parfait (le rêve de tout parent et des vieux).
Poutine est allé en Ukraine pour aider ses amis du WEF à mettre en place la dictature numérique qui va servir de modèle dans toute l’UE. Et en même temps il est un soutient précieux d’ aide au formatage en cours des esprits patriotes du régime Européen communiste (le TVphage déteste Poutine donc déteste celui qui ne déteste pas Poutine…).
L’observation autour de nous (et élections), montre bien de manière flagrante que les citoyens globalement n’aiment pas les « antis » : système, vaxins, science, ukraine, UE, numérique, informations TV, etc…
Nous n’avons donc encore rien vu et ne sommes qu’en phase préparatoire.
Il restera juste à allumer la mèche le moment venu par la propagande Médias et les citoyens hexagonaux se réveilleront comme au pays du soleil levant et de l’Ours… les pays des merveilles…
Commentaire pas au bon endroit mais bon.
La destruction continue.
https://insolentiae.com/la-farine-va-manquer-le-seul-meunier-de-leure-oblige-demprunter-pour-payer-ses-factures-delectricite/
😮
https://mobile.twitter.com/verity_france/status/1615285020280725504?cxt=HHwWgIC9zd7K0uosAAAA
Si la technologie permet de mettre l’Humanité en esclavage numérique, vous ne trouverez personne parmi les élites mondiales (élites qui sont des voleurs) pour s’opposer à ce projet.
Une première indication est le vax covid ; combien de dirigeants s’y sont opposés? Les quelques héros qui l’ont fait ont été assassinés.
Quel pays s’oppose actuellement à la reconnaissance faciale, au projet de crédit social via les monnaies numériques des banques centrales?
Par conséquent si on veut échapper à l’esclavage numérique, il faut détruire la civilisation actuelle (il n’y a hélas pas d’autre solution, car il n’y aura pas de sauveur extérieur, ni encore moins de sursaut démocratiques lors d’une élection (tout est sous contrôle). A la limite, une révolution mondiale pourrait être l’unique issue (scénario très hypothétique au vu de la résistance au vax).
Poutine (représentant des élites russes) est en guerre contre l’Empire woke transnational qui contrôle l’OTAN. Les cliques capitalistes semblent en désaccord sur le partage du gâteau au niveau du NWO, au point de devoir en venir aux mains. Nous allons voir si cette guerre (qui est déjà mondiale, bien qu’en basse intensité pour le moment) permettra de liquider la civilisation moderne.
Citation Einstein:
« Je ne sais pas comment la Troisième Guerre Mondiale sera menée, mais je sais comment le sera la quatrième: avec des bâtons et des pierres. »
Ps: parmi tous les sombres en jeu, vous préférez (méprisez moins): l’équipe woke (Biden, Macron, Van der Leyen, Scholz, Soros, etc.), ou les élites russes?
L’auteur de l’article, Edward Slavsquat, semble découvrir que tout le monde est soumis à la technoscience, qui surdétermine la politique et la géopolitique, c’est-à-dire les rapports de force au niveau mondial. La Russie peut assurer sa souveraineté politique et géopolitique parce qu’elle a les armes qui le lui permettent, c’est-à-dire qu’elle a le développement technoscientifique qui le lui permet. C’est la Recherche & Développement technoscientifique sur les armes – la course aux armements – qui écrit l’Histoire, selon les mécanismes concurrentiels et conflictuels de la théorie des jeux. Le but pour chaque acteur de la situation est d’éviter le « décrochage capacitaire », c’est-à-dire d’être dépassé techniquement par l’ennemi, donc envahi et conquis par l’ennemi à terme.
En 2023, on ne lutte pas contre l’OTAN avec des arcs et des flèches. Le complexe militaro-industriel de la Russie est donc contraint de jouer le jeu à fond du développement technoscientifique, avec ses retombées civiles et ses dérives transhumanistes, qui peuvent en retour devenir une menace pour la souveraineté politique et géopolitique de la Russie. Mais tout le monde en est là : le risque de se perdre dans le dosage du pharmakon technoscientifique (cf. Bernard Stiegler) concerne 100% de l’espèce humaine, et non seulement la Russie.
Je développe un peu dans la question/réponse 5 de l’entretien ci-dessous.
Exemple concret : renoncer à l’IA, c’est se soumettre à l’IA des autres, puisque :
« L’intelligence artificielle façonnera les futures cyberattaques »
Bonsoir Lucien Cerise,
Merci pour votre commentaire. Je l’ai lu avec beaucoup d’intérêt, ainsi que l’article et l’entretien auxquels vous renvoyez.
Il me semble qu’en avançant l’idée que « la technoscience surdétermine la politique et la géopolitique », vous faites preuve vous-même, si je puis dire, d’un déterminisme excessif – voire désespérant. Une sorte de rouleau compresseur aveugle présiderait aux destinées du monde, auquel nul pays ni groupe humain ne pourrait échapper. Une course dévorante aux armements et au progrès scientifique et technique, engagée depuis les débuts de l’humanité et que nul ne pourrait arrêter ni même freiner. Pire, pour survivre, chaque peuple ou nation serait contraint de la nourrir et de l’accélérer lui-même…
J’ai pour ma part la conviction que l’Histoire est faite non par des forces aveugles et en quelque sorte autonomes, au développement exponentiel (pour certains l’intelligence artificielle, i.e. un genre de super-ordinateur central, gouvernerait même aujourd’hui la planète), mais par la volonté et le génie humains, qui ont toujours réussi à surmonter les crises, dérives et catastrophes prétendument inévitables ou fatales.
En d’autres termes, je récuse l’idéologie matérialiste. Ce sont les passions humaines qui dominent l’Histoire. Elles font souvent tomber l’humanité « du côté obscur » mais n’empêchent pas celle-ci de se relever, animée par un besoin de liberté et de dignité qu’éclaire et soutient la Providence – les non-croyants diraient l’instinct vital ou l’intelligence collective.
Une autre critique, plus précise, concerne ce que vous appelez les « retombées civiles et transhumanistes » de cette domination de la technoscience.
Si l’on admet que la Russie, comme tous les Etats, est contrainte quoi qu’elle en pense de relever le défi de la course aux armements pour éviter le « décrochage capacitaire », en quoi cela l’oblige-t-elle à retourner ces armes et ces technologies contre sa propre population ?
En quoi la nécessité de « répondre à l’OTAN autrement que par des arcs et des flèches » impose-t-elle d’injecter sa population, de la numériser, de la surveiller et de la contrôler 24h/24 par la reconnaissance faciale et la biométrie ? Or c’est précisément ce qu’est train de faire le pouvoir russe et que dénonce Edward Slavsquat dans ses différents articles.
Poutine dénonce à juste titre la « culture de mort » de l’Occident. Mais jamais Poutine n’a dénoncé la supercherie de la fausse pandémie, des mesures dites sanitaires de l’OMS et des injections délétères, voire mortelles dont il sait pourtant qu’elles affaiblissent aussi le peuple russe au lieu de l’aider dans sa confrontation avec les Etats-Unis. La Russie n’a même cessé de collaborer avec Big Pharma dans la fabrication du pseudo-vaccin Sputnik V. Pire encore, le pouvoir russe prétend s’être lancé dans une « opération de dénazification » en Ukraine alors qu’il pratique des expérimentations microbiologiques, nanotechnologiques et transhumanistes sur son propre peuple qui rappellent tristement le totalitarisme nazi.
A toutes ces apparentes incohérences et contradictions, je vois pour ma part une seule explication : c’est qu’il n’y pas de concurrence entre les peuples mais bien plutôt une coalition des diverses « élites » contre ces derniers. Edward Slavsquat le montre bien (ici par exemple). Tout n’est qu’affaire de domination, de pouvoir et d’argent. La robotisation de l’humain, l’abolition de la frontière entre la machine et le vivant ne sont pas des fatalités mais un projet revendiqué. Le moteur de l’Histoire n’est pas la technoscience. Celle-ci, loin d’avoir échappé à tout contrôle comme on voudrait nous le faire croire, n’est rien de plus qu’un outil dont l’oligarchie mondialiste se sert, au-delà de ses querelles internes, dans sa guerre machiavélique contre l’humanité.
Quelque huit milliards d’intelligence naturelle aux capacités diverses et sous-tendues par des actions individuelles,
M’est avis que l’IA universelle est une gageure à réaliser surtout qu’elle est le fait de loups qui finissent toujours par se déchirer entre eux.
Jean LENOIR